- Accueil ›
- Thérapeutique ›
- Vigilances ›
- Produits cosmétiques : du changement dans le dispositif de vigilance

© Getty Images
Produits cosmétiques : du changement dans le dispositif de vigilance
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a, depuis le 1er janvier 2024, la charge des missions de vigilance et d’expertise relatives aux produits cosmétiques et de tatouage. Ces missions relevaient auparavant de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
Le champ d’action de l’Anses comprend 3 axes :
– l’évaluation des dangers et des risques des substances utilisées dans les produits cosmétiques et de tatouage, dans le cadre du règlement européen,
– l’expertise en appui à la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) dans ses missions de surveillance du marché et de police sanitaires pour ces produits,
– le pilotage d’études d’exposition à ces produits et les substances qu’ils contiennent.
Les effets indésirables qui surviennent dans les conditions normales d’emploi ou en cas de mésusage d’un produit cosmétique sont à déclarer par mail à cosmetovigilance@anses.fr, à l’aide du formulaire ad hoc disponible sur le site de l’Anses.
- Analogues du GLP-1 : le conseil constitutionnel impose au médecin d’informer de la non-prise en charge
- Préparations magistrales de quétiapine : un nouveau tableau d’équivalence de doses
- Quétiapine : pas de retour à la normale avant l’automne
- Interactions avec les produits à base de CBD : quels médicaments ?
- Tramadol et codéine : les points clés de l’ordonnance numérique sécurisée
- Nouvelles missions : l’offre et la demande est au rendez-vous
- Rapport de l’IGAS : le DPC est (sans doute) mort, vive la certification !
- Biosimilaires : vers un taux de remise à 30 % ?
- Aggravation des tensions sur Pegasys : nouvelles règles de dispensation mises en place
- [VIDÉO] Régulation de l’installation des médecins, un poisson d’avril ?

