Nicorandil : arrêt du traitement nécessaire en cas d’ulcérations

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Nicorandil : arrêt du traitement nécessaire en cas d’ulcérations

Publié le 21 mars 2012
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Dans une lettre adressée aux professionnels de santé publiée sur son site le 20 mars, l’Afssaps leur recommande d’informer les patients traités par nicorandil du risque d’ulcérations associées à la prise de ce traitement antiangoreux (effet indésirable connu de la molécule) et de l’importance de signaler l’apparition de ce type d’événements. Elle préconise également l’arrêt définitif du traitement après la survenue d’ulcérations sous nicorandil, quelle que soit la localisation de la lésion, sur avis du médecin prescripteur.
Ces recommandations sont formulées après que de nouvelles notifications d’ulcération ont été signalées, en des localisations non observées par rapport aux zones de survenue jusqu’ici connues : au niveau de la muqueuse digestive, de la peau, des zones péristomiales, de l’appareil génital et plus rarement de la cornée.
Lire la lettre adressée aux professionnels de santé

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