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Dépakine : l’APESAC réagit

Publié le 27 août 2016
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«Le problème de droit est devant nous. Il est touffu comme dans le cas Médiator. Les familles devront prouver qu’il y a une cause à effet direct entre la prise du valproate et les conséquences dramatiques. Ce n’est ni facile à démontrer, ni forcément toujours vrai. Il ne s’agit pas d’interdire aux femmes épileptiques (ou bipolaires, on les oublie) de procréer, mais d’envisager, en cas de grossesse – et comme on le fait déjà dans bien d’autres pathologies – une alternative moins aléatoire dans l’état actuel des connaissances scientifiques.»

Actualité publiée le 24   août 2016 sur lemoniteurdespharmacies.fr

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