Cultivons nos jardins

Pour 2001, nous parlions d’année «canon» pour la pharmacie. Les principaux marchés de l’officine étaient en effet orientés à la hausse. Selon les chiffres fournis par IMS Health(1), 2002 restera aussi dans les mémoires comptables comme une bonne année pour l’économie officinale, même si le taux de marge sur le remboursable a continué de s’éroder.

Les plus beaux fruits de la croissance ont été cueillis du côté des home tests, de la contention, des compléments alimentaires et bien évidemment des génériques.

A contrario, cinq marchés (buccodentaire, bébés, capillaires, médicament familial et contraception) ont bien besoin de mains vertes et de fertilisants pour s’épanouir de nouveau. Pour vous y aider, nous avons, pour l’ensemble des marchés analysés, identifié différents leviers pour booster vos rayons.

A vous de semer maintenant.

(1) Les données pharmacie d’IMS couvrent les 22 590 officines françaises (France métropolitaine hors Corse, DOM-TOM, Andorre, Monaco ; hors pharmacies minières). Les données portant sur les marchés homéopathie, médicament familial, diététique, compléments alimentaires, dermo-cosmétique, produits et accessoires pour bébé, buccodentaire, contraception, contactologie et minceur sont issues d’un panel de 500 pharmacies représentatives. Les données sur les marchés contention, incontinence, pansements et accessoires sont issues d’un panel de 7331 pharmacies.