- Accueil ›
- Thérapeutique ›
- Produits ›
- Autres ›
- Le doute persiste
Une analyse sur 5 ans de la base de pharmacovigilance fait apparaître un excès de notifications de pancréatites aiguës avec les incrétines par rapport aux autres antidiabétiques, a estimé une étude présentée au congrès P2T (physiologie, pharmacologie et thérapeutique) qui s’est tenu à Poitiers du 22 au 24 avril. Sont impliqués, par ordre de fréquence décroissant, le liraglutide (Victoza), l’exénatide (Byetta), la saxagliptine (Onglyza), la sitagliptine (Januvia) et la vildagliptine (Galvus). Une partie de ces pancréatites survient sur des terrains à risque : antécédents de pancréatite, cholécystectomie, lithiase biliaire, hépatite, stéatose, cirrhose… Leur recherche avant d’initier un traitement est préconisée. L’ANSM a annoncé attendre les résultats d’une étude de pharmaco-épidémiologie sur les incrétines fin 2015.
- Analogues du GLP-1 : le conseil constitutionnel impose au médecin d’informer de la non-prise en charge
- Préparations magistrales de quétiapine : un nouveau tableau d’équivalence de doses
- Interactions avec les produits à base de CBD : quels médicaments ?
- Quétiapine : pas de retour à la normale avant l’automne
- Neutraderm gel douche : retrait de lots
- Mieux délivrer Izalgi, antalgique de palier II
- Nouvelles missions : l’offre et la demande sont au rendez-vous
- Rapport de l’Igas : le DPC est (sans doute) mort, vive la certification !
- Biosimilaires : vers un taux de remise à 30 % ?
- Aggravation des tensions sur Pegasys : nouvelles règles de dispensation mises en place