Autres Réservé aux abonnés

Flexi-doses Arkopharma

Publié le 26 mars 2024
Partager
Copier le lien
Mettre en favori

Les flexi-doses ArkoRelax Sommeil (EAN : 35788 355 048 0 4) et ArkoRelax CBD (EAN : 35788 355 048 2 8) sont des minicomprimés sublinguaux (boîte de 60) à action immédiate. Le premier associe mélatonine 0,5 mg et coquelicot, le second CBD 10 mg, mélisse et vitamine B6. À prendre selon ses besoins.

Arkopharma : 04 93 29 11 28

Publicité
Publicité
Publicité
Les + lus Les + récents
  1. Tramadol et codéine : ces nouvelles règles qui relancent le débat sur l’ordonnance numérique
  2. Quétiapine en rupture de stock : comment adapter la prise en charge des patients ?
  3. Desloratadine : bientôt des médicaments conseil ?
  4. Préparations magistrales de quétiapine : mode d’emploi
  5. 4 points clés sur Vecalmys, nouveau traitement de l’hypertrophie bénigne de la prostate
  1. Obésité, cancers, maladies rares : les actus qui bouleversent le monde
  2. Nociceptol : un spray contre la douleur
  3. Licenciement abusif : l’indemnisation désormais incontournable
  4. Vers quels sites internet orienter les femmes pendant la grossesse ?
  5. 5 étapes pour sécuriser la détention de stupéfiants à l’officine
Sur le même sujet…
Obésité, cancers, maladies rares : les actus qui bouleversent le monde
International

Obésité, cancers, maladies rares : les actus qui bouleversent le monde

Tour d’horizon de l’actualité médicale mondiale : boom des médicaments antiobésité, dépistage précoce des maladies rares, avancées contre le cancer et lutte contre les pénuries de médicaments. Décryptage des tendances qui redessinent la santé.
Nociceptol : un spray contre la douleur
Autres

Nociceptol : un spray contre la douleur

Grâce à son format, le spray antidouleur Nociceptol permet une application facile et uniforme sur la zone douloureuse, y compris lorsque celle-ci est difficile à atteindre, comme la nuque ou le dos.
Licenciement abusif : l’indemnisation désormais incontournable
Licenciement

Licenciement abusif : l’indemnisation désormais incontournable

Un salarié victime d’un licenciement abusif, c’est-à-dire sans cause réelle et sérieuse, peut percevoir des indemnités évaluées selon le barème dit « Macron ». Le 29 janvier, la Cour de cassation a rappelé que ce versement est obligatoire.