- Accueil ›
- Thérapeutique ›
- Médicaments ›
- Fiches médicaments ›
- Voltaren Plast
Novartis Santé Familiale mise sur le pharmacien pour la prise en charge des traumatismes musculaires ou articulaires douloureux bénins tels que les entorses, les foulures ou encore les contusions. Pour cela, il commercialise Voltaren Plast, des emplâtres médicamenteux composés de la molécule phare de la gamme Voltaren : le diclofénac. Chaque dispositif bioadhésif mesure 10 cm sur 14 cm et contient 140 mg de principe actif anti-inflammatoire. L’emplâtre est en fait imprégné d’un gel de diclofénac et en assure une diffusion transdermique continue et régulière. Le diclofénac est associé à des excipients qui facilitent son absorption, du menthol pour un effet rafraîchissant lors de l’application et des excipients hydratants. Le support de l’emplâtre est une compresse souple extensible en non tissé ; elle se colle sur n’importe quelle zone du corps.
Voltaren Plast peut être conseillé chez l’adulte et l’adolescent à partir de l’âge de 15 ans. Voltaren Plast ne doit pas être utilisé si le patient a déjà manifesté une réaction allergique à un AINS. Il faut également avertir le patient de ne pas appliquer l’emplâtre sur une zone cutanée présentant une plaie ouverte, une brûlure, une infection ou un eczéma. Un traitement par Voltaren Plast peut engendrer des réactions cutanées locales : rougeur, sensation de brûlure, prurit, érythème…
→ La posologie : un emplâtre sur la zone douloureuse à renouveler toutes les 12 heures pendant 2,5 jours. Il ne faut pas découper l’emplâtre, ni le couvrir d’un pansement occlusif.
FICHE TECHNIQUE
Diclofénac sodique 140 mg pour un emplâtre médicamenteux.
Boîte de 5, PAHT : 8,93 €, AMM : 394 223.4.
DITES-LE AU PATIENT
→ Consulter un médecin si les symptômes ne s’améliorent pas après 48 heures de traitement.
→ Eviter de s’exposer au soleil pendant le traitement et un jour après son arrêt (risque de photosensibilisation).
→ Arrêter le traitement en cas d’éruption cutanée.
- Tramadol et codéine : les points clés de l’ordonnance numérique sécurisée
- Analogues du GLP-1 : le conseil constitutionnel impose au médecin d’informer de la non-prise en charge
- Petit récap des nouvelles règles sur le tramadol et la codéine au 1er mars 2025
- Rupture de stock de Iopidine : par quoi le remplacer ?
- Quétiapine : pas de retour à la normale avant l’automne
- [VIDÉO] Arielle Bonnefoy : « Le DPC est encore trop méconnu chez les préparateurs »
- [VIDÉO] Le service de livraison en ligne : « Ma pharmacie en France » disponible dès juin
- [VIDÉO] Négociations, augmentations, ancienneté… Tout savoir sur les salaires à l’officine
- [VIDÉO] 3 questions à Patrice Marteil, responsable des partenariats Interfimo
- [VIDÉO] Quand vas-tu mettre des paillettes dans ma trésorerie, toi le comptable ?