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Insuffisance cardiaque - page 13

Les rhinosinusites aiguës
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Les rhinosinusites aiguës

Une rhinosinusite aiguë correspond à l’inflammation de la muqueuse des fosses nasales et d’un ou de plusieurs sinus. D’origine virale dans la majorité des cas, les rhinosinusites relèvent d’un traitement symptomatique et d’une information sur les signes qui doivent amener à consulter un médecin : fièvre persistante, œdème palpébral, douleurs sinusiennes importantes… Une antibiothérapie s’impose si une origine bactérienne est suspectée.
La France peut-elle empêcher la commercialisation du Mysimba ?
Métier

La France peut-elle empêcher la commercialisation du Mysimba ?

Malgré l’avis favorable rendu par l’Agence européenne des médicaments (EMA), la France reste opposée à l’octroi d’une AMM centralisée pour le « coupe-faim » Mysimba. Elle a saisi en février la Commission européenne en vue d’un réexamen du dossier.
L’insuffisance cardiaque chronique
Savoirs

L’insuffisance cardiaque chronique

Souvent consécutive à une autre maladie cardio-vasculaire, l’insuffisance cardiaque est l’incapacité du cœur à assurer un débit sanguin suffisant aux besoins de l’organisme. L’âge moyen des patients est de 75 ans.Elle est responsable d’une morbi-mortalité importante. Toutefois, des mesures hygiéno-diététiques et un traitement médicamenteux bien codifié améliorent le pronostic.
Quiz patho : L’insuffisance cardiaque
Pathologies

Quiz patho : L’insuffisance cardiaque

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L’insuffisance cardiaque
Pathologies

L’insuffisance cardiaque

Souvent consécutive à une autre maladie cardio-vasculaire, l’insuffisance cardiaque est l’incapacité du cœur à assurer un débit sanguin suffisant aux besoins de l’organisme. Elle est responsable d’une morbi-mortalité importante. L’âge moyen des patients est de 75 ans. Toutefois, des mesures hygiéno-diététiques et un traitement médicamenteux bien codifié améliorent le pronostic.
Des patients chroniques fort coûteux
Métier

Des patients chroniques fort coûteux
“J’ai des remontées acides”
Délivrance

“J’ai des remontées acides”
Le diabète de type 2
Savoirs

Le diabète de type 2

Ce diabète se caractérise par une hyperglycémie chronique, conséquence d’un déficit de sécrétion de l’insuline et d’une diminution de ses effets sur les tissus cibles (insulinorésistance). Longtemps silencieux, il peut causer de graves complications sur les plans cardio-vasculaire (on parle de macroangiopathie), rénal, oculaire et neurologique (microangiopathie) s’il n’est pas diagnostiqué et traité à temps. D’où l’importance du contrôle de l’équilibre glycémique par les mesures hygiéno-diététiques et les traitements hypoglycémiants pour réduire le risque.
Le diabète de type 2
Pathologies

Le diabète de type 2
Le cancer de la prostate
Savoirs

Le cancer de la prostate

Le cancer de la prostate est une tumeur maligne qui se développe initialement au sein de la prostate, majoritairement à partir des cellules qui constituent le revêtement de la glande prostatique, d’où le terme d’adénocarcinome. Le plus souvent, son évolution est très lente. Ainsi, certaines tumeurs demeurent à un stade latent ou progressent en restant confinées à la prostate. D’autres, plus agressives, peuvent se développer et envahir des organes voisins (vessie, rectum…) ou plus éloignés, notamment les os. C’est le cancer masculin le plus fréquent en France et dans les pays occidentaux.
Un hypertendu souffrant d’« impuissance »
Pathologies

Un hypertendu souffrant d’« impuissance »

Franck D., 58 ans, est traité depuis trois ans pour une hypertension artérielle et une hypercholestérolémie, bien équilibrées sous Lodoz et simvastatine. Aujourd’hui, il vous tend une ordonnance comportant en plus du Cialis.
Hémochromatose héréditaire de type 1
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Hémochromatose héréditaire de type 1

L’hémochromatose héréditaire se caractérise par une surcharge en fer de l’organisme. Sa forme la plus commune, dite « de type 1 », est la maladie génétique la plus fréquente dans la population blanche. En cause, une anomalie chromosomique responsable d’une absorption excessive du fer alimentaire. Le fer qui s’accumule progressivement dans les tissus et organes peut provoquer, après des années d’évolution insidieuse, des atteintes graves métaboliques et/ou viscérales. En France, 1 personne sur 300 est porteuse de cette anomalie génétique.
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