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Sorties de la réserve hospitalière

Publié le 10 mai 2003
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FSPF

« Plusieurs sorties se sont déjà produites : les interférons, l’hormone de croissance ou les médicaments antisida. Nous avions demandé que les confrères soient informés sur les conditions particulières de dispensation, le suivi des malades, le contrôle des prescriptions. Cela s’est très bien passé et la DGS nous a félicités pour le résultat obtenu. Il n’y a pas de raison pour que l’on change la méthode. Les pharmaciens devront être préparés avant même l’arrivée de ces médicaments. »

UNPF

« La sortie de la réserve hospitalière d’un certain nombre de médicaments est un enjeu politique, professionnel et économique. Politique, car c’est reconnaître le travail et les connaissances scientifiques. Si pour certains médicaments la sortie peut se faire sans problème particulier, pour d’autres, une meilleure coordination tant au niveau de l’information que de la formation doit se faire entre l’hôpital et l’officine. Pour le futur, il faut que l’officine ait droit à la même information que l’hôpital, quel que soit le statut du médicament dès son AMM. »

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APLUS

« Nous travaillons pour que nos logiciels accompagnent ces dispensations officinales, en apportant des formations continues au moment du besoin, pour permettre de répondre instantanément au besoin de santé publique exprimé. »

USPO

« L’officine est capable d’absorber cette activité sans aucun problème, comme elle l’a toujours fait, avec l’organisation, en corollaire, de la formation commune des officinaux, des médecins de ville et de nos confrères hospitaliers. La mise en place d’un suivi thérapeutique pour certaines molécules pourrait être dès à présent envisagée. »