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On a retrouvé le code de déontologie
Par Anne-Hélène Collin, Yolande Gauthier, Laurent Lefort et Francois Pouzaud
Nouvelles missions, indépendance, transformation numérique et exercice coordonné ont été les thèmes principaux de la 33e journée de l’Ordre, organisée le 22 novembre à Paris. Des thèmes qui reviennent aussi dans le code de déontologie, dont le projet actualisé a été adopté le 4 octobre dernier par le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens et transmis au ministère des Solidarités et de la Santé, la version de 2016 étant restée « coincée dans les arcanes des ministères », ironise Carine Wolf-Thal, présidente de l’Ordre. « Le code de déontologie est notre boussole, nous avons besoin qu’il soit en adéquation avec la réalité du terrain », poursuit-elle. Question publicité, selon Pierre Béguerie, président de la section A, « il n’y aura pas de changement mais une adaptation » du code aux nouveaux outils de communication, notamment numériques, avec une « plus grande permissivité par rapport aux informations que peuvent et, finalement, doivent donner les pharmaciens pour renseigner au mieux le patient », notamment sur les services proposés, mais « il sera plus réservé sur la communication promotionnelle ». Dans une allocution enregistrée, Olivier Véran s’est engagé à publier ce code de déontologie en 2022.
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