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Le médicament dans le viseur de la sécu

Publié le 10 décembre 2013
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Rejeté par le Sénat, le budget de la Sécurité sociale retrouve actuellement sa forme initiale à l’Assemblée nationale. À la clé, plusieurs dispositions qui touchent directement le médicament et, par ricochet, le chiffre d’affaires des officines.

Décidément très rebelles, les sénateurs ont rejeté le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2014 (PLFSS) quelques jours après avoir déjà dit « niet » à la réforme des retraites du gouvernement. Peu importe au final car la Constitution prévoit que le dernier mot revient toujours à l’Assemblée nationale. C’est donc le texte dans sa version initialement adoptée par cette dernière qui devrait être définitivement adopté au cours de la première quinzaine de décembre. Dans un contexte de crise économique et de volonté de maîtrise des dépenses de santé, le médicament n’est pas à la fête.

Des baisses de prix sur les médicaments
Plusieurs mesures d’économies visent d’abord les industriels. Des baisses de prix de médicaments génériques comme de princeps devront être décidées l’année prochaine pour un montant de 960 millions d’euros.
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Encadré : Polémique
La vente à l’unité des comprimés de certains antibiotiques devrait être expérimentée
La pratique est monnaie courante en Grande-Bretagne, elle a été adoptée en Espagne en 2011 et la France devrait l’expérimenter dès l’année prochaine, conformément au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). La vente à l’unité de médicaments dans les officines, réservée jusqu’alors aux stupéfiants, a vocation à être étendue. Les premiers visés sont les antibiotiques…
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À lire dans Porphyre n°498 de Décembre 2013-Janvier 2014

















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