La pharmacie peut « libérer de la croissance » sans être remise en cause, estime la FSPF

Publié le 18 septembre 2007
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Pierre Leportier a évoqué le 19 septembre des propositions visant à répondre à la mise en cause de la pharmacie (« rente de situation ») par Nicolas Sarkozy. Il s’exprimait lors de la présentation du prochain Congrès des pharmaciens de Saint-Malo, les 13 et 14 octobre prochain, auquel il convie les membres de la commission Attali (pour leur faire découvrir ce qu’est une pharmacie). Le président de la FSPF a insisté sur le fait que la mise en cause d’un des trois fondements de l’officine (monopole, capital, quorum) n’apporterait rien au pays en termes de croissance. En revanche, il propose de modifier la structure de l’emploi en pharmacie (favoriser l’accession à la propriété des pharmaciens en tant qu’associés pour libérer des moyens afin de revaloriser les carrières des préparateurs, notamment). Pierre Leportier cite également les transferts de tâches des médecins vers les pharmaciens, ainsi que le développement de nouveaux services en officine, notamment les services à la personne.

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