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De l’air !
Le petit courrier adressé au Moniteur par mon confrère Eric de Beaurepaire (n° 2408 du 25 août 2001) a représenté pour moi un vent d’air pur qui a soufflé sur l’officine. « DHEA… Contrôler comment ? »… Eh oui, depuis trop longtemps déjà, la « nécessité » et les « besoins » ne sont plus que les alibis de la société productiviste marchande dans laquelle malheureusement de trop nombreux officinaux se sont engouffrés sans se poser trop de questions (à part celles de marges, bénéfices, profits…) sur la revalorisation actuelle du rôle du pharmacien, partenaire actif de santé publique. […] Nous ne devons jamais oublier la prévention, le bon usage du médicament ou la meilleure observance des traitements, et être très vigilants sur ce que propose au grand public la télévision, Internet…, car tout ce qui peut paraître « facile » et « utile » pour la santé est pratiquement incontrôlable. Et tant pis si il y a toujours un risque de perdre une partie de notre clientèle au profit de pharmacies qui ressemblent davantage à des petits supermarchés libres-services, qui sont à l’opposé d’un réseau de qualité et de proximité qui reste le meilleur défenseur d’un exercice libre et indépendant.
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