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Réseaux sociaux
Facebook, Copains d’avant, YouTube, Meetic et autres réseaux sociaux s’imposent comme le nouveau moyen de créer ou de maintenir des relations. Les préparateurs en font un usage plus personnel que professionnel.
Bonjour, quelqu’un va à la formation de cosmeto à Nancy, lundi et mardi ? » demande Nathalie à un groupe de préparateurs en pharmacie sur Facebook. Cette fois, elle n’a pas eu de réponse, mais la Toile reste le lieu où cette habituée du leader mondial des réseaux sociaux noue des contacts qui partagent les mêmes centres d’intérêt. Retrouver des connaissances perdues de vue, partager les photos du petit dernier avec la famille ou les souvenirs de vacances avec les amis en sont les principaux attraits. Comme dans la vie réelle en quelque sorte…
Retrouver les copains d’avant. Appliquée à Internet, l’expression « réseau social » définit une communauté d’individus ou d’organisations mis en relation par un site en fonction de centres d’intérêt communs, comme les goûts musicaux, les passions, la vie professionnelle, etc. Le site facilite les interactions et les échanges de données tels que les messages, les vidéos, les photos… L’adhésion à un réseau social permet aussi de créer de nouveaux contacts, parfois appelés « amis », selon deux principes : les amis de mes amis sont mes amis, les personnes qui partagent les mêmes centres d’intérêt que moi le sont aussi. « C’est un moyen virtuel, mais ça permet de rester en contact. J’ai retrouvé des gens que je n’ai pas vus depuis longtemps, même si je ne les ai pas rencontrés physiquement », apprécie Christophe Magnoux, préparateur à Noisy-le-Grand (93), aujourd’hui enseignant au CFPP de Planchat (Paris). Comme les autres préparateurs interrogés, Christophe utilise surtout le réseau pour des correspondances personnelles. Nathalie Mammeri, préparatrice à Saint Léonard (88), se souvient : « Au départ, je me suis inscrite pour retrouver des copains de l’école. J’ai ainsi retrouvé une copine d’enfance, qui est aussi une collègue. » Rechercher d’anciens camarades est souvent la première motivation. Le choix de Facebook se fait par le bouche-à-oreille parce que c’est connu (voir encadré « Classement des réseaux sociaux ») et que la famille et les amis s’y retrouvent.
Pour le boulot, les sites professionnels. « Je ne m’en sers jamais pour des questions de boulot. Je vois mes collègues tous les jours, si j’ai besoin de quelque chose, je préfère leur demander directement », explique Sandrine, préparatrice à Toulouse (31). Et pour se tenir informée de l’actualité de l’officine et du secteur médical en général, « je lis la presse médicale. C’est complet et je sais que c’est une source sûre ». Nathalie Mammeri précise quand même que « le réseau reste néanmoins un moyen de trouver des informations. En cliquant sur “j’aime”, je me suis retrouvée dans un groupe de préparateurs en pharmacie sur Facebook. Dès lors, je regarde ce qui se dit de nouveau sur la profession et j’utilise les liens proposés par des préparateurs vers d’autres sources d’information ». Ce faible engouement pour un usage purement professionnel se constate dans le nombre réduit de membres que comptent ces groupes. « Pharmacie 2.0 », qui a pour objectif de discuter et de proposer des pistes pour l’officine de demain, réunit moins de 250 personnes. Plusieurs groupes de préparateurs en pharmacie tournent avec dix utilisateurs. « Je ne les trouve pas très actifs », estime Christophe Magnoux, qui préfère le forum de Porphyre sur WK-Pharma. Quant à Matthieu Deletraz, préparateur à Meythet (74), il a choisi : « Pour ce qui est de mon métier, je préfère me tenir informé sur des sites spécialisés, comme pharmechange.com. » Le forum de référence de l’officine condense actualités, offres d’emploi et discussions avec une garantie de sérieux et de professionnalisme des échanges, comme le décrit Francis Liaigre, préparateur à la Roche-sur-Foron (74), créateur du site : « C’est un lieu pour s’entraider, se soutenir, partager ses expériences. Les officinaux se sentent moins seuls et trouvent un endroit pour échanger. Et comme nous avons des modérateurs, les discussions ne dégénèrent pas. » Francis a créé un second site, spécifique aux préparateurs : « Avec preparateur-en-pharmacie.com, les préparateurs peuvent parler plus librement de ce qui est difficile à l’officine, avec leur employeur ou leurs collègues… »
Indignez-vous ! Le Web social est aussi un vecteur de mobilisation, et certains n’hésitent pas à s’en servir comme d’une tribune. Un exemple avec le groupe « Pour une réforme du BP Préparateur en Pharmacie ! » sur Facebook, qui affiche clairement les opinions de ses membres : « RDV sur notre mur pour l’organisation d’une grève historique !!! » « Que va devenir le métier de préparateur en pharmacie ? Un robot qui va ranger, préparer les commandes et les ordonnances !! » « À quand cette révolution, pourquoi ça traîne ? » « Parce que les pharmaciens ne veulent pas augmenter les grilles de salaires de la profession », répond un autre. La révolution blanche n’a pas encore eu lieu et les actes n’ont pour l’heure pas suivi les mots, même si les réseaux sociaux ont prouvé dans d’autres circonstances qu’ils pouvaient fédérer les protestations. Une histoire que suit Laurent Corbacho, préparateur à Perpignan (66), qui aimerait « essayer de faire bouger les choses. Le réseau social permet de communiquer avec d’autres collègues à travers la France et de se réunir pour défendre nos revendications ». Plus simplement, d’autres utilisent cette place publique virtuelle pour pousser quelques coups de gueule. « Que médecins et pharmaciens pensent plus à la santé de leurs patients qu’aux portefeuilles de leurs clients », s’indigne l’un d’eux. « Depuis quand le programme du BP de préparateur n’a-t-il pas été modifié ? Nous en avons assez d’étudier des sornettes, nous voulons du concret et être sélectionnés sur des choses utiles à notre futur métier », s’insurge un autre. Attention toutefois à bien mesurer l’impact de ses propos. Un préparateur a connu une situation conflictuelle avec ses collègues après avoir critiqué l’ambiance de travail à l’officine.
Mon profil en vitrine. Le rayonnement du réseau peut être une aubaine pour qui veut faire connaître une action qui lui tient à cœur. Bernard Ligeon est préparateur à Nice (06) et membre de Retina France, une association qui aide les malades atteints de dégénérescences rétiniennes. « Je me sers de mon profil Facebook pour relayer des informations sur l’association, pour annoncer des événements organisés, comme des concerts. Même si je n’ai pas la possibilité de le mesurer, je suis certain que ça aide à faire venir plus de gens. » Son but, être vu et lu par le plus grand nombre. « J’ai plus de 4 200 amis sur Facebook. Dans 99 % des cas, ce sont des personnes que je ne connais pas. Je cherche à donner un maximum de visibilité à mon association. » En revanche, le caractère potentiellement universel d’un réseau peut être un inconvénient, tout dépend du contenu des publications. « J’aime bien mettre des photos sur Facebook, admet Marie, préparatrice à Toulouse. Je ne mesurais pas vraiment la portée que ça avait jusqu’au jour où ma patronne m’a parlé de mes dernières photos de vacances. Rien de méchant, mais ça m’a mise mal à l’aise. Depuis, je fais beaucoup plus attention. J’ai tout verrouillé, on ne sait jamais. » La curiosité des autres et les dérives vers l’espionnage sont les principales craintes exprimées par les adeptes du réseautage – le fait de contacter les contacts de ses contacts. « Ce qui revient en priorité, c’est la crainte de voir sa vie privée étalée au grand jour, surtout avec Facebook », remarque Mélissa Bounoua, qui donne des cours sur les réseaux sociaux au Centre de formation et de perfectionnement des journalistes (CFPJ). Il vaut mieux les vrais amis parmi ses contacts Facebook, et distiller les infos et les photos avec réserve. D’autant qu’une étude de l’Ifop(1) montre que 73 % des utilisateurs de réseaux trouvent qu’il est difficile d’effacer des informations personnelles présentes sur Internet. Parmi ceux qui ont essayé, 14 % n’ont pas réussi, et 53 % n’ont réussi qu’en partie. Ceux qui n’y parviennent pas peuvent adresser une plainte en ligne à la Commission nationale de l’informatique et des libertés(2) (CNIL).
Sélectionner et protéger ses données. Pseudonymes, double profil avec contacts séparés, paramétrages de confidentialité, les moyens existent pour se protéger. Par exemple, Facebook permet de répartir ses contacts dans différentes listes correspondant aux membres de votre famille, à vos amis proches, à vos collègues, et d’adapter les paramètres de confidentialité de vos informations en fonction de chaque catégorie. « Ces sites sont une vitrine remarquable et gratuite. Aucun média n’a cette audience, explique Mélissa Bounoua. Les dérives ne sont pas la faute de Facebook et des autres réseaux, mais des gens qui ne font pas attention. Quand on sait s’en servir et que l’on est discret, ils ne comportent aucun risque. » Les préparateurs l’ont bien compris. « Je ne mets pas n’importe quoi, je trie les informations », souligne Nathalie. De son côté Christophe précise : « J’évite de mettre mes contacts professionnels dans mes liens sur Facebook. Depuis que je suis enseignant, je prends garde aux infos ou photos publiées en réglant les paramètres de confidentialité. Sans être sûr de vraiment protéger les données. » La CNIL appelle régulièrement les utilisateurs de Facebook à la plus grande vigilance concernant les contenus de leurs messages ainsi que les personnes qui peuvent y accéder. En effet, les informations qui figurent sur les profils Facebook sont de plus en plus souvent utilisées pour justifier des mesures disciplinaires dans un cadre professionnel ou scolaire. Jusqu’à entraîner un licenciement (voir encadré « Quand les internautes dérapent »). Les profils créés sur les réseaux sociaux sont paramétrés par défaut pour être publics et accessibles à tous les utilisateurs du site. Des paramètres de confidentialité peuvent être personnalisés. Difficiles à trouver de l’avis général, ils ne protègent pas définitivement vos données. Lors de mises à jour, vos informations peuvent redevenir publiques. À surveiller.
Des premiers pas hésitants. Pharmacies, CFA et laboratoires pharmaceutiques coopèrent encore peu sur les principaux réseaux sociaux. La tendance s’inversera peut-être dans l’avenir, comme elle l’a fait dans d’autres secteurs. De rares offres d’emploi sont directement postées. Les agences d’intérim passent aussi quelques messages. Toutefois, les réseaux sociaux ne seraient pas privilégiés par les internautes interrogés s’ils devaient rechercher un nouvel emploi. Pour l’heure, sites spécialisés et blogs ont encore un grand rôle à jouer. L’un n’empêche pourtant pas l’autre. La puissance du social network est justement de jouer sur plusieurs terrains.
(1) Observatoire des réseaux sociaux, Institut français d’opinion publique (Ifop), octobre 2010.
(2) « Maîtriser les informations publiées sur les réseaux sociaux », Commission nationale de l’informatique et des libertés (cnil.fr).
glossaire
« Ami » ou « friend » (n.m.) : aussi bien collègues que copains de lycée, famille ou parfaits inconnus, la liste d’« amis » Facebook peut s’apparenter à un fourre-tout. Selon l’adage, « les vrais amis se comptent sur les doigts d’une main ». Le site a voulu accorder une rallonge, en limitant leur nombre à 5 000.
« friender » (verbe, prononcé frindé) : terme qui plaît aux adeptes des anglicismes, il désigne l’action de demander quelqu’un en « ami » sur Facebook.
« Facebooker » (verbe, prononcé fècebouqué) : action de se connecter à Facebook. Quand certains diront « flâner », « espionner », « échanger » ou bien « perdre son temps », « facebooker » est le terme générique pour mettre tout le monde d’accord.
« Poke » (n.m.) : symbolisé par une petite icône en forme d’index sur Facebook, difficile de savoir à quoi le « poke » sert exactement. Les créateurs du site l’ont pensé comme un clin d’œil, une tape sur l’épaule ou une manière de faire un petit coucou. Il servirait aussi de technique de drague pour établir un premier contact, virtuel.
« Poker » (verbe, prononcé poké) : envoyer un « poke » à quelqu’un. Avec un peu de chance, il ou elle décidera de vous « poker back », c’est-à-dire de vous « poker » en retour (répondre).
« Pokeur » et « poké » (n.m.) : encore une jolie adaptation de la langue anglaise à la sauce française. Le « pokeur » est tout simplement celui qui « poke » le « poké ». Vous suivez ?
« Wall » (n.m.) : signifiant « mur » en français, le terme est employé tel quel par les adeptes de Facebook. Sorte de page d’accueil associée à chaque profil d’utilisateur, sur laquelle les « amis » peuvent publier des « posts » (liens, photos, commentaires, etc.). C’est aussi sur le « wall » qu’est publié le « statut » de l’utilisateur, soit ce qu’il a décidé de partager avec son auditoire, son humeur du jour ou à peu près tout ce qui lui passe par la tête.
« Twit » ou « tweet » (n.m.) : message publié sur Twitter. Il ne peut pas excéder 140 caractères, espaces compris. Un petit compteur limite ceux qui voudraient s’épancher. Pour l’anecdote, tweet signifie « gazouillis ».
« Twitter » ou « tweeter » (verbe, prononcé touité) : poster un « twit » sur Twitter. Gageons que la langue française ne tardera pas à l’intégrer dans son dictionnaire.
« Retweet » ou « RT » (n.m.) : un message contenant un « RT » a déjà été publié par un utilisateur puis repris par une autre personne. Attention, la fonction RT répond à des règles précises, au risque d’être accusé de plagiat.
« Follower » ou « abonné » (n.m.) : personne qui suit l’actualité publiée par un utilisateur de Twitter. C’est un peu l’équivalent d’un « friend » sur Facebook. Plus vos messages postés seront intéressants, plus vous compterez de « followers ».
« Twittos » ou « twitteux » (n.m.) : surnom affectueux donné aux utilisateurs du réseau Twitter.
Classement des réseaux sociaux
L’Observatoire des réseaux sociaux est une enquête quantitative réalisée chaque année par l’Ifop, qui a interrogé 2 015 internautes à l’automne 2010.
Classement par notoriété : 94 % des internautes interrogés ont déjà entendu parler de Facebook (92 % des hommes et 96 % des femmes). Viennent ensuite Youtube (92 %), Copains d’avant (88 %) et Meetic (86 %). Toujours en progression, Twitter n’arrive qu’en 7e position. Il est connu de 80 % des sondés, mais seulement 7 % d’entre eux revendiquent une appartenance à ce réseau. Enfin, à l’approche de l’élection présidentielle de 2012, les réseaux des grands partis politiques souffrent d’une faible notoriété. Seuls 3 % des internautes interrogés connaissent le réseau social lancé par le Mouvement populaire (Les créateurs de possibles), et 2 % celui du Parti socialiste (La Coopol). Classement par appartenance (fait d’être membre) : 52 % des sondés sont membres de Windows Live, 46 % de Copains d’avant et 43 % de Facebook. Près de 4 utilisateurs d’internet sur 5 seraient membres d’au moins un réseau social.
Quand les internautes dérapent
« Commentaires insultants », « incitation à la rébellion », « dénigrement de l’entreprise ». Les affaires se multiplient. Employés licenciés ou suspendus, les tribunaux doivent départager de plus en plus de conflits engagés sur terrain virtuel.
Les amis de mes amis
La faute aux réseaux sociaux, peut-être. À l’imprudence de leurs utilisateurs, sûrement. En novembre dernier, trois employés qui critiquaient leur hiérarchie et leurs conditions de travail via un groupe sur Facebook se retrouvent sans emploi. Ils ont été dénoncés par l’un de leurs « amis ». Le conseil des Prud’hommes de Boulogne-Billancourt a donné raison à l’employeur. « Tous les contentieux concernant Facebook et les autres réseaux sociaux se jugent au cas par cas », explique Me Pascal Saint Geniest, avocat spécialisé en droit social au barreau de Toulouse (31). La loi ne dit rien de précis à ce sujet. Deux points sont à considérer dans chaque affaire : les limites de la liberté d’expression et le caractère public ou privé des messages.
« Tout le monde peut dire ou écrire ce qu’il veut, c’est un droit fondamental en France, à partir du moment où cela n’est ni diffamatoire ni injurieux. Si une volonté de nuire est clairement exprimée, des sanctions peuvent alors être appliquées. »
Vie privée et connexion publique
Sur les réseaux sociaux, la frontière entre privé et public est mince et perméable. Visible par les « amis » des « amis », les messages perdent leur caractère privé. « C’est le danger d’Internet, reprend Me Saint Geniest. Une lettre à un membre de la famille ou une discussion en tête-à-tête avec un proche est clairement personnelle. Ce n’est pas le cas pour des opinions exprimées sur un site dont on ne connaît pas exactement la confidentialité. » Pour l’heure, les officines ne sont pas concernées, mais la prudence est de rigueur. « On ne peut pas parier sur ce que sera demain la jurisprudence dans ce genre d’affaires, il faut rester sur ses gardes, conseille l’avocat. D’autant que le juge des Prud’hommes peut tout au plus demander des dommages et intérêts s’il considère que le licenciement est abusif. Dans tous les cas, l’employé ne retrouvera pas son travail. »
Quelques exemples chez nos voisins
> En Suisse. Une employée de la Nationale Suisse a été licenciée pour avoir actualisé son statut Facebook pendant un arrêt maladie. Son employeur a jugé que, si elle pouvait surfer sur le site, elle était capable de venir travailler.
> En Grande-Bretagne. Un gardien de prison « ami » avec plusieurs détenus sur Facebook s’est vu remercié du jour au lendemain par sa hiérarchie.
> Au-dessus de nos têtes. En novembre dernier, treize employés de la compagnie aérienne Virgin Atlantic sont renvoyés pour avoir critiqué de manière insultante les passagers. Son président, Richard Branson, a déclaré : « On ne peut justifier que le site soit utilisé par le personnel de toute compagnie pour critiquer les passagers, qui en dernier ressort paient leurs salaires. »
Des réseaux 100 % pros
Ils s’appellent Linked In, Viadeo, Xing ou encore Ziki. Les employeurs se tournent de plus en plus vers eux pour recruter de nouveaux talents ou rechercher clients et partenaires. Ce sont des réseaux sociaux professionnels (RSP).
Environ 35 millions d’utilisateurs pour Viadeo (premier réseau social professionnel français, fondé en 2004). Plus de 90 millions pour le géant international Linked In. Ici plus qu’ailleurs, modération et parcimonie sont de mise. S’inscrire sur un RSP signifie s’exposer à de nombreux professionnels de son secteur. Pour le meilleur et pour le pire. Mieux vaut donc présenter son plus beau « profil » aux employeurs ou collègues potentiels. Les premiers pas dans le labyrinthe des RSP sont simples : inscription, informations à compléter, recherche d’intérêts communs avec d’autres membres. Ensuite, il est recommandé d’enrichir régulièrement son profil et d’entretenir son réseau pour rester « dans le coup » et saisir une opportunité ou une offre d’emploi éventuelle. Il ne faut pas attendre d’en avoir besoin pour se lancer. Vos contacts seront plus à même de vous donner un petit coup de pouce s’ils vous connaissent déjà et vous font confiance. Les fonctionnalités de ces sites (parfois payantes) sont pensées pour optimiser les recherches des recruteurs et des recrutés. Une manière d’aller directement à l’essentiel. Le bon contact est à portée de clic, en un seul coup d’œil.
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