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Jusqu’alors réservée aux spécialistes en cardiologie, endocrinologie-diabétologienutrition ou médecine interne, la prescription de l’alirocumab (Praluent) et de l’evolocumab (Repatha) est élargie aux médecins vasculaires et aux neurologues depuis le 29 avril. Ces médicaments hypocholestérolémiants anti-PCSK9 sont indiqués dans la prise en charge des hypercholestérolémies (taux élevé de LDL cholestérol sanguin) et dyslipidémies mixtes (taux élevé de triglycérides et de LDL cholestérol), des hypercholestérolémies familiales homozygotes et en cas de maladie cardiovasculaire athéroscléreuse établie (antécédents d’infarctus du myocarde, d’accident vasculaire cérébral ou d’affection des artères).
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