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Les rencontres

Publié le 1 mai 2011
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Estelle, 20 ans, apprentie en 1re année au CFA de Douai

C’est notre prof de galénique qui nous a proposé de venir. J’ai sauté sur l’occasion, parce que je n’étais jamais venue à Pharmagora. Dans mon imagination, c’était tout de même moins grand… Sur certains stands, les exposants prennent bien le temps de nous parler des nouveautés, mais ce n’est pas le cas de tout le monde…Moi, c’est plutôt la para qui m’intéresse. Je suis apprentie dans une pharmacie mutualiste, et les clients sont d’anciens mineurs, alors j’ai envie d’un peu de glamour ! Je pense revenir souvent, parce que l’ambiance du salon me plaît.

Nadège, 25 ans, préparatrice à Neuilly-sur-Seine, et Cécile, 26 ans, préparatrice à Montreuil

Pour nous, Pharmagora, c’est la première fois. Nous nous sommes rencontrées à la formation CQP de dermocosmétique officinale, alors évidemment, nous sommes très intéressées par la para. Tout ce que nous pourrons découvrir ici nous servira à la fois professionnellement et pour notre formation… C’est tout bénéfice ! Surtout que les labos sont assez disponibles pour nous parler de leurs gammes. Maintenant, il est difficile de dire si on viendra tous les ans. On verra bien !

Sanchez, 31 ans, préparatrice à Les Abymes, Guadeloupe

C’est la première fois que je viens à Pharmagora. J’ai fait le déplacement exprès de la Guadeloupe pour y assister ! C’est ma titulaire qui m’a payé le voyage. Le salon est tout à fait comme je me l’imaginais. Je suis venue pour me former, et pour découvrir les nouveautés des labos… J’en ai repéré plusieurs susceptibles d’intéresser ma titulaire. Malheureusement, beaucoup de laboratoires ne livrent pas dans les DOM-TOM. C’est marrant que l’on se rencontre, je viens juste de m’abonner à Porphyre !

Neila, 22 ans, élève préparatrice en BP2

Je suis issue d’une famille de pharmaciens. Pharmagora est un peu le passage obligé ! On peut discuter avec les labos, avoir des renseignements qu’on n’a pas forcément à l’officine, c’est aussi l’occasion de découvrir de nouveaux produits. Cette année, ma soeur, juriste et passionnée de phytothérapie et de parapharmacie m’a accompagnée. Comme quoi le salon attire même les juristes ! Par contre, comme il y a trop peu de renseignements dans les salons étudiants, on regrette qu’il n’y ait pas de stand sur les métiers de la pharmacie. Ce serait une manière de découvrir et de conseiller les étudiants sur ces métiers. Dommage !

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Juliette, 21 ans et Cécile, 24 ans, préparatrices et futures conseillères en dermocosmétique.

C’est la première fois que nous venons. On a fait tout le tour. Par rapport à l’année dernière, on a trouvé qu’il manquait surtout les gros groupes comme Biogaran, Merck ou Darphin. Pour les pharmaciens ou les préparateurs, c’est dommage, il manquait aussi les laboratoires avec lesquels on travaille souvent. Mais niveau cosméto, c’était vraiment bien dans l’ensemble. Au final, nous sommes vraiment contentes d’être venues. On a découvert de nouvelles crèmes et pas mal de nouveaux produits. On a même eu des microformations sur certains stands !