Métier Réservé aux abonnés

Galénika

Publié le 1 décembre 2008
Mettre en favori

Galénika version 2008 avait pour thème la spécialisation. Se poser, chercher l’inspiration au fond de soi, s’interroger sur « le sens de sa vie », se mettre à la place du titulaire, écouter les clients. Se spécialiser commence par là. Par l’attention portée à ses contraintes, à ses capacités et à ses envies.

La première approche consiste à réfléchir sur soi », a expliqué Edouard Hayaud, consultant au cabinet Plein Emploi, lors de la conférence intitulée « Pourquoi se spécialiser » et animée par la journaliste Claire Bouquigny. Certaines personnes feront une démarche personnelle, d’autres auront besoin de réaliser un bilan de compétences.

Identifier ses motivations et ses aptitudes. « Dans tous les cas, il faut analyser son passé professionnel, identifier ses compétences, ses motivations, puis construire un projet qui tienne compte de ses contraintes (âge, famille, revenus), de son environnement (entreprise, clientèle, région) et de son évolution », affirme Édouard Hayaud. Le choix de se spécialiser peut redonner du goût au travail. La deuxième étape consiste à exposer ses idées au titulaire. « Il faut d’abord lui demander comment il voit l’avenir de son officine et quelle plus-value vous pouvez apporter, suggère Franck Michen, formateur en communication au Centre de formation des préparateurs en pharmacie hospitalière de Lyon. Ensuite, on laisse le temps de la réflexion au titulaire car le sentiment de perdre le contrôle peut le stresser. Le temps du partenariat vient en dernier avec le choix de la spécialisation en accord avec le titulaire. » À ce stade, il n’est pas opportun de parler salaire car la reconnaissance ne se fait pas a priori. Et si le titulaire oppose un refus catégorique à toute demande d’évolution ? « Il faut envisager de monter son projet ailleurs. »

Trouver un financement. Enfin la mise en oeuvre relève de l’OPCA PL. Cet organisme oriente les salariés et l’entreprise sur le choix d’une formation et ses financements. Anne-Marie Jasnot, responsable du Pôle Santé reçoit les appels des salariés. « Je les interroge sur leur parcours professionnel, leurs diplômes, leur type de contrat, les formations qu’ils ont suivies, explique-t-elle. Si le salarié a déjà un projet, je discute avec lui des possibilités de financement. Sinon, je peux lui proposer de suivre un bilan de compétences. » L’OPCA PL informe sur les offres de formation, les barèmes de prise en charge et la procédure administrative. « L’OPCA PL ne finance pas toutes les demandes, rappelle Anne-Marie Jasnot. Chaque année, les représentants de la branche pharmacie définissent les thèmes prioritaires. » La formation peut être choisie par le titulaire dans le cadre du plan de formation ou par le salarié dans le cadre du DIF. La décision finale revient toujours à l’employeur, sauf dans le cas où le salarié demande à bénéficier d’un Congé individuel de formation.

Comment obtenir une formation ?

Changer de point de vue, telle est la proposition par Christine Meyer, responsable de la formation à OCP qui a proposé à son auditoire des exercices pratiques. À la question : « Qu’est-ce qui intéresse le titulaire et lui donnerait envie de m’envoyer en formation ? », ils ont répondu : « pouvoir donner de meilleurs conseils, répondre aux attentes des clients et actualiser les connaissances ». À la question « Qu’est-ce qui le retient ? », la réponse fut : « problèmes d’organisation et de coût. » Les solutions proposées furent : « anticiper l’absence en proposant un remplaçant, trouver la formation, s’occuper des questions administratives, utiliser le DIF. » Quant à savoir « ce que le titulaire objecte » ou ses doutes sur l’impact au comptoir, les préparateurs en pharmacie ont suggéré d’y répondre par « un engagement à former l’équipe, réaliser des fiches de conseils et proposer des réaménagements. »

Dermocosmétique, Botticelli fait des émules

La dermocosmétique n’a pas fini de séduire les préparateurs, c’est le constat de la conférence animée par Claire Manicot, rédactrice en chef de Porphyre. « Nous avons développé de nombreuses antennes* jusqu’à Pointe-à-Pitre et Fort-de-France. Au total, nous accueillons près de 200 élèves à travers la France », explique Bruno Fernandez, directeur du centre Botticelli. « Nous avons une promotion de quarante élèves », confirme Solange Laugier, responsable de la formation au CFA d’Avignon. L’intérêt pour la formation s’explique par la demande plus forte des clients. « Les officinaux doivent répondre à une clientèle de plus en plus consommatrice et de plus en plus exigeante, note Rosy Rajabaly, enseignante à Paris. Alors le besoin en connaissances technique s’accroît chez les préparateurs en pharmacie.»

Maintien et soins à domicile, devenez MAD

Non, il ne faut pas être fou pour se lancer dans le maintien à domicile (MAD). Mais formé. Tel a été le constat du débat animé par la journaliste Christine Julien. Certes, « être à l’écoute est une qualité indéniable pour faire du MAD, mais la formation initiale en BP est insuffisante », a argumenté Christelle Degrelle, préparatrice à Villeneuve la Guyère (Yonne) et militante CFE-CGC. Formation en deux jours, DU, toutes les pistes sont bonnes à condition de bénéficier de structures locales, « ce qui n’est pas toujours le cas dans les DOM-TOM » ont regretté les collègues d’outre-atlantique, nombreux dans le public. Une fois formé, encore faut-il développer cette activité. Pas simple quand le titulaire a besoin de savoir ce que rapporte cette activité. D’où l’idée du CFA du Centre (Bourges, Tours et Orléans) qui, outre ses formations en deux fois deux jours, envisage de développer « une formation de manager », a révélé Laurent Haon, directeur du CFA. Ancien préparateur en pharmacie, Michel Gautier, président de la société Pharmareva (prestataire exclusif pour les officines) a évoqué la possibilité aux préparateurs de devenir franchisé Pharmareva et d’être « à son compte ».

Publicité

Devenir orthopédiste-orthésiste

Il y a une forte demande d’orthopédistes-orthésistes, souligne Serge Maximin, directeur pédagogique de la formation orthopédie à l’ACPPAV à Poissy. Elle est due au vieillissement de la population et aux déremboursements. Les appareillages sont aussi plus légers, plus efficaces, plus confortables et ils ne sont plus perçus comme des carcans ». Ces auxiliaires médicaux confectionnent des orthèses sur-mesure et peuvent exercer en libéral, en officine, à l’hôpital ou en industrie. « C’est un métier relationnel et varié.» La formation dispensée à Poissy, Castres et Lyon pour obtenir le certificat de technicien supérieur d’orthopédiste-orthésiste dure dix mois.

Poissy, 01 39 22 62 15 ; Castres, 05 63 51 47 48 ; Lyon, 04 72 53 04 78.

Entrer dans l’industrie

Les préparateurs peuvent en 10 mois de formation à temps plein (avec des périodes de stage) ou deux ans pour les contrats d’apprentissage, obtenir le titre de Technicien en Pharmacie Industrielle (TPI), délivré par le Groupe IMT*, et travailler comme technicien de fabrication, conducteur de ligne automatisée ou technicien de contrôle de la qualité. « Ce sont des métiers techniques qui peuvent faire l’objet d’horaires décalés », prévient Emmanuelle Audoux, responsable de communication à l’IMT de Tours. « Il est possible après cela de suivre la formation de Technicien Supérieur en Pharmacie Industrielle (TSPI), souligne Emmanuelle Audoux, et d’accéder à des postes d’animateur d’équipe, de technicien en assurance de la qualité, de technicien galéniste ou en transposition industrielle. »

*

Travailler à l’hôpital

Le préparateur en pharmacie hospitalière est un médicotechnique et un paramédical. À ce titre, il lui est demandé le même niveau d’implication que les autres professionnels de l’hôpital », prévient Marie-Line Intilia, directrice du centre de formation des préparateurs en pharmacie hospitalière de Lyon (1). Ainsi, travailler à l’hôpital signifie changer de métier. Claudine Moinerie, coordinatrice du centre de formation de Paris (2), conseille de visiter des pharmacies hospitalières : « Attention, la formation est difficile, elle dure un an, alternant périodes de cours et stages pratiques. » Avec à la clé, un diplôme de niveau III (le BP est de niveau IV).

(1) Lyon, 04 78 77 72 98 (2) Paris, 01 42 16 08 17

Antivitamines K, ni trop, ni trop peu

5 000 morts par an à cause des antivitamines K…. Florence Bontemps, journaliste et rédactrice en chef adjointe au Moniteur des Pharmacies n’a pas mâché ses mots devant une salle comble.

Tout se joue au quart de comprimé près pour les AVK. Trop, c’est un risque d’hémorragie assuré, trop peu c’est l’embolie pulmonaire qui guette si le thrombus se détache et migre dans la circulation générale. Alors, face à une ordonnance d’AVK, on doit sécuriser la délivrance grâce à une démarche en cinq temps, baptisée ASPIC.

S’il s’agit d’une initiation de traitement, l’INR (International normalized ratio) qui mesure la coagulabilité chez les patients sous AVK, doit être fait tous les trois jours, puis espacé lorsque deux résultats de suite sont dans la zone cible. Pendant le temps de latence où l’AVK n’agit pas (48 h environ), il est indispensable que le patient soit sous héparinothérapie.

Dans la majorité des cas, l’INR doit être compris entre 2 et 3. Et doit être fait au minimum une fois par mois. Donc, à chaque renouvellement d’ordonnance, posez la question « de quand date votre dernier INR ? », et « est-il dans la zone cible ? ». Si les patients sont au début un peu surpris, pensez que ça leur évitera peut-être d’être le 5001ème mort dans l’année par surdosage d’AVK !

La posologie est fréquemment ajustée sur 2 ou 3 jours. 1, 3/4, 3/4 ne veut pas dire 1 matin 3/4 midi et soir ! Devant toute posologie ambiguë, questionner le patient et ne pas hésiter à appeler le médecin. Le comprimé se prend le soir pour que la dose puisse être ajustée dès le résultat d’INR connu.

Trois médicaments sont contre-indiqués avec les antivitamines K : miconazole (Daktarin), aspirine à partir de 500 mg par prise, et butazolidine (AINS très peu prescrit). De très nombreux médicaments sont déconseillés ou à prendre avec précautions. A chaque introduction ou arrêt d’un médicament, il faut programmer un INR 3 jours après. L’alimentation peut également interagir, mais de façon bien moindre.

À retenir essentiellement la grossesse, et le risque de saignement (intervention chirurgicale, extraction dentaire, conduite à risque de la vie courante).

Huiles essentielles, oui, mais avec prudence

Il faut le dire et le redire : les huiles essentielles doivent être utilisées avec prudence et donc faire l’objet d’une mise à jour des connaissances. Guilhem Jocteur, gérant de la société Apoticarius*, insiste d’autant plus que l’aromathérapie donne lieu actuellement à une automédication importante. Celle-ci est liée aux déremboursements et à un engouement pour le naturel et le bio. « Il faut rester conscient de la balance bénéfices/risques des huiles essentielles et son implication en termes de responsabilité professionnelle ».

*

Dermocosmétique, l’École des Spécialistes

On ne peut plus se contenter de vendre une crème ou un soin quelconque sur les seules assertions d’un laboratoire », assure Lydia Boucher qui a mis sur pied un nouveau concept, l’École des Spécialistes, en partenariat avec PharmaRéférence (PHR). La première formation a pour thème la dermatologie et la dermocosmétique. « Les femmes se rendent compte que les produits qu’on leur propose ne sont pas efficaces, constate la formatrice. Il est faux de dire qu’une crème va rajeunir la peau en deux semaines de traitement. Le retour à un langage vrai est indispensable. » La peau est le reflet d’une personnalité et d’une histoire et que l’hygiène de vie, l’alimentation, les médicaments, le stress ont aussi une influence. « La crème n’est qu’un outil », rappelle Lydia Boucher. Dermatologue, nutritionniste, phytothérapeute, dermocosméticien interviennent dans cette formation qui dure une année à raison d’un jour par mois. •

01 60 05 70 32 ou 06 81 46 67 03 lydia_boucher@yahoo.fr

Diététique : seul l’excès est préjudiciable

Avez-vous une alimentation équilibrée ? » Les besoins alimentaires varient selon l’âge, l’état de santé et l’activité physique. Élodie Chateau-Douard, préparatrice en pharmacie et diététicienne, explique, comment adapter son conseil officinal. Au sportif souffrant de crampes, elle suggère de manger des fruits secs et de bien s’hydrater. Elle encourage la jeune femme enceinte qui n’aime pas le lait, à manger des légumes verts et à boire des eaux riches en calcium. À l’informaticien stressé qui grignote toute la journée, elle conseille de faire trois vrais repas et de boire une tisane calmante. Elle est convaincue : « Il faut manger un peu de tout, et de tout un peu, car seul l’excès est préjudiciable. Et éviter de proposer trop de restrictions car manger doit rester un plaisir. »

Préparatoire : le mettre aux normes

Pour présenter les BPP (bonnes pratiques de préparation) parues il y a déjà un an, Galénika a fait appel à un duo de spécialistes, Fabien Bruno, pharmacien à la pharmacie Delpech, une des plus grosses officines de sous-traitance et Christel Leclercq préparatrice et formatrice au CFA de Douai. « Vous voulez mettre votre préparatoire aux normes ? Interrogez les apprentis. Grâce à leurs cours en CFA, ce sont les mieux informés sur les BPP ! », a lancé Fabien Bruno qui déplore que nombre de pharmacies n’ont encore rien changé à leurs pratiques. Car désormais il faut garantir un certain nombre de procédures, explique Christel Leclercq : « acheter les matières premières chez un fournisseur agréé BPF, saisir les données (produits, quantités, opérateurs) sur informatique, faire contrôler le produit fini par un deuxième opérateur, avoir des registres à jour et faire libérer la préparation par un pharmacien… »

Diabète : soigner son pied

Entre 10 000 et 15 000 amputations du pied par an en France, c’est le triste bilan des complications liées au diabète », déplore Claude Huertas, directeur de l’Institut de Podologie au CHU Purpan à Toulouse lors de l’atelier Pierre Fabre Santé. En effet, l’hyperglycémie chronique entraîne une perte de la sensibilité à la douleur, préjudiciable en cas de chaussures mal adaptées, de déformation des pieds ou de blessures. En cas d’ischémie, ces petits traumatismes provoquent des lésions qui dégénèrent en nécroses puis en gangrène. La prévention est très importante : se laver les pieds tous les jours, les sécher minutieusement et les hydrater avec une crème adaptée, ne pas marcher pieds nus, examiner les pieds tous les jours, faire couper les ongles et soigner cors et durillons par un pédicure podologue tous les mois, ne jamais utiliser de kératolytiques, choisir soigneusement chaussettes et chaussures et porter éventuellement des orthèses plantaires.

La cooper, logiciels pour le préparatoire

Les deux grands fournisseurs de matières premières pour le préparatoire, La Cooper et Fagron proposaient d’initier les visiteurs au maniement de leur logiciel pour des préparations dans le respect des Bonnes Pratiques de Préparation. Celui de la Cooper a pour nom Easy Prep. Son point fort : la récupération automatique du certificat d’analyse via internet et une grande base de données dépassant les produits de La Cooper (SIPF, Phytoprevent, Phytosun, Boiron). Chaque étape est clairement identifiée à l’écran : réceptionner un produit, libérer une matière première, réaliser une préparation et libérer une préparation. Le logiciel peut être téléchargé (avec son numéro de client Cooper) et utilisés gratuitement durant un mois. Chez Fagron, le logiciel BP’PREP est aussi d’un maniement intuitif. Chaque étape est caractérisée par un code barre à valider. Peu d’erreur possible.

Ces logiciels sont proposés à un prix équivalent (environ 1 500 e HT). Fagron propose un forfait selon le nombre de préparations réalisées et une formule location vente. La Cooper envisage d’offrir ce même type d’offre. •

EUCERIN

Eucérin met sur le marché DermoDensifyer, soin redensifiant intensif adapté aux peaux après 55 ans. Ses actifs : des peptides d’Apiacées et de l’Arctiine qui réactivent la production de collagène.

01 70 37 32 00,

BOIRON

Comme chaque année, à Galénika, Boiron affirme sa volonté de travailler avec les équipes officinales et les aider à intégrer l’homéopathie dans leur conseil. Présente sur le stand, Michèle Boiron présentait son nouveau livre : « Homéopathie et Prescription Officinale », écrit avec François Roux, pharmacien d’officine.

Homéopathie et Prescription Officinale (livre et CD-Rom inclus), Éditions Similia, 30 ¤ TTC.

MERIAL

Frontline Combo reste le produit leader de Merial : un geste double pour éliminer les tiques et puces des chats et des chiens et éviter la contamination de l’habitat par les oeufs et larves des puces.

04 72 72 32 54.

PIERRE FABRE

Fidèle au salon, Pierre Fabre n’a pas manqué le rendez-vous. Les représentants de chaque gamme, présentaient leurs « derniers nés ».

• Seriane Sommeil, complément alimentaire en gélules associe un extrait de feuilles de mélisse et l’Alpha-casozépine pour améliorer la qualité du sommeil et faciliter l’endormissement. Chez l’adulte et l’enfant à partir de 6 ans.

• Elusanes Sureau, gélules d’extrait sec de sureau sont indiquées contre les gênes respiratoires telles que la congestion nasale et la toux, ainsi que pour la qualité du sommeil.

La gamme Eluage d’Avène compte désormais Eluage Texture riche, soin anti-âge raffermissant et lissant au rétinaldéhydes et fragments d’acide hyaluronique destiné aux peaux matures sèches à très sèches et Eluage Contour des Yeux, soin anti-âge qui cible les rides, les poches et les cernes.

La gamme de compression médicale Déesse de Veinostim se décline en collants qui se présentent comme un bas de compression sur lequel est tricoté une culotte féminine. Les avantages : une culotte qui ne serre pas la taille et l’absence de bande siliconée au niveau de la cuisse. Existent en classes I et II, en noir, chocolat et miel.

Drill nouvel arôme anis-menthe, sans sucre, renferme comme les autres références de la tétracaïne et de la chlorhexidine.

Ducray joue la carte anti-rougeur avec deux nouvelles références A-Derma Sensiphase : la gelée micellaire pour démaquiller en un seul geste et e masque apaisant décongestionnant. Deux gestes anti-rougeurs pour les peaux intolérantes à associer à la crème traitante existante.

MEDIECOS

Spécialiste des soins des lèvres et des rides, le laboratoire Mediecos a obtenu en 2004 les victoires de la beauté pour son stick volumateur Lip Seduction 3D. Avec Isobot Oxylift, le laboratoire s’attaque aux rides du visage et du cou. Ses promesses : un effet lifting instantané et à longue durée d’action.

01 39 76 30 82,

PASSAT

La société Passat met à disposition de l’officine son concept unique de brosse à deux têtes : la Dental révolution, qui fonctionne à piles, brosse simultanément l’intérieur et l’extérieur des dents tout en massant la gencive. Des recharges de têtes sont disponibles.

01 34 48 33 33,

RECOBOX :DES MALLETTES À « RECO »

La société Recobox créée par un titulaire varois, propose aux préparateurs et aux étudiants en pharmacie, une mallette renfermant des échantillons de toutes les plantes et matières premières dont la reconnaissance est exigée au BP et au diplôme de pharmacien. Les produits sont de qualité et la présentation est soignée.

04 94 41 57 88,

MEDELA

Leader mondial de l’allaitement, Medela présentait trois nouveautés : les compresses hydrogels stériles qui procurent un effet rafraîchissant, un soulagement immédiat pour protéger les mamelons sensibles, une taille M (20 mm) pour ses bouts de sein Contact en silicone souple ultra fin et les biberons incassables garantis sans bisphénol-A en 250 ml.

01 69 16 10 30,

CPM

CPM mise sur le libre accès. Avec une Borne Santé « Combi » dans l’officine, le patient peut surveiller sa tension, son poids et son indice de masse corporelle. Le plus : le suivi personnalisé avec cartes de fidélité et émission de tickets nominatifs reprenant l’historique des mesures.

04 77 93 05 05,

A pour Analyser le contexte.

S pour Surveillance biologique.

P pour posologie.

I comme Interactions.

C comme contre-indications.

Secourisme, Recyclez-vous !

Et Adriana Karembeu, à quelle heure arrive-t-elle sur le salon ? Cette blague, les bénévoles de la Croix-Rouge la connaissent par coeur… Qu’importe, ils gardent le sourire, avec ou sans leur ambassadrice de charme. Les initiations aux premiers secours ont remporté un vrai succès. Certains candidats s’étaient inscrits sur Internet, d’autres réservaient leur place entre deux conférences… Mathilde, Charles et tous les autres venus en renfort ne chômaient pas : quelles sont les quatre étapes de base pour porter secours, qui appeler et à quel moment, comment apprécier la conscience d’une victime, que faire en cas d’arrêt cardiaque ? En une heure trente environ, les formateurs passent en revue les gestes qui sauvent. Avec à la clé un diplôme d’initiation délivré sur place et en point d’orgue, l’utilisation d’un défibrillateur automatisé externe. Tantôt en position latérale de sécurité, tantôt en plein massage cardiaque, les candidats sont passés aux exercices pratiques. Autour du stand, les commentaires allaient bon train : à mon époque c’était 15 compressions et non 30 pour deux insufflations, non ? En effet ! Les consignes évoluent et une remise à niveau s’impose régulièrement. Pour vous recycler, il y a forcément un centre de formation Croix-Rouge près de chez vous. •

0820 16 17 18

Galénik’Académie

Pour sa deuxième édition, la Galénik’académie a fait « bipper » comble. Il faut dire que les questions concoctées par les expertes du CFA d’Avignon ont donné du fil à retordre aux candidats du jeu. Venus de toute la France – même des DOM-TOM avec le beau Gilbert ! – et de tous les univers – c’est une préparatrice hospitalière qui a gagné le samedi ! -, les participants ont brillé par la bonne humeur, n’hésitant pas à riposter aux insinuations parfois graveleuses de l’animatrice. Dimanche, les élèves du CFA de Douai ont agréablement étonné les expertes par la qualité de leurs réponses à des questions vraiment pas faciles. Cette année, deux anciennes participantes sont revenues jouer. Andréa a gagné une demi-finale et Élodie a enfin remporté la finale à laquelle elle n’avait pas pu participer l’année dernière en raison d’un train à prendre. Bravo à tous ! •

Côté livres

Comme chaque année, le stand de la librairie du salon a attiré de nombreux visiteurs. Des nouveautés côté ouvrages, puisque la dernière édition du Manuel Porphyre du préparateur en pharmacie était en bonne place et proposé à un prix spécial. Côté revue, les visiteurs ont pu bénéficié d’offres promotionnelles sur les abonnements à Porphyre et (re)découvrir Le moniteur des pharamcies et Pharmacien Manager, deux autres magazines indispensables de l’activité officinale.