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Testopatch

Publié le 1 décembre 2007
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Nouvelle spécialité. Avec Testopatch, les hommes bénéficient eux aussi d’un traitement sous forme de dispositifs transdermiques. Ce médicament à base de testostérone constitue un traitement substitutif des hypogonadismes masculins liés à un déficit en testostérone. Le diagnostic doit avoir été confirmé cliniquement et biologiquement. Des contrôles réguliers de la testostéronémie, de l’hémoglobine, de l’hématocrite, de la fonction hépatique et du bilan lipidique interviennent tout au long du traitement. Trois dosages de Testopatch existent (1,2, 1,8 ou 2,4 mg/24 h).

Mode d’emploi : deux patchs dosés à 2,4 mg/24 heures à renouveler toutes les 48 heures. La posologie peut être réduite si le patient présente des signes d’hyperandrogénie (irritabilité, nervosité, prise de poids, nausées, érections prolongées…). Changer le site d’application à chaque renouvellement.

Attention ! : Testopatch est contre-indiqué en cas de cancer de la prostate, de tumeur hépatique ou de carcinome mammaire (rare). Des réactions locales sont l’effet indésirable le plus fréquent. Surviennent aussi fréquemment : hypercholestérolémie, hypertriglycéridémie, variations de poids, dépression, céphalées, douleurs abdominales, myalgies…

Présentations : boîte de 30 dispositifs transdermiques.

• Testopatch 1,2 mg/24 h, AMM : 370 670.0.

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• Testopatch 1,8 mg/24 h, AMM : 370 679.8.

• Testopatch 2,4 mg/24 h, AMM : 370 675.2.

Liste I. Non remboursé.

Statut particulier : prescription initiale réservée aux spécialistes en endocrinologie, en urologie ou en gynécologie.

Laboratoire Pierre Fabre Santé

60 comprimés.

Laboratoire Bristol-Myers Squibb