- Accueil ›
- Préparateurs ›
- Délivrance ›
- Nasodren
Peu de cas de sinusites, pourtant en général virales, échappent à la consultation médicale et à la prescription antibiotique.
Nouveau dispositif médical, Nasodren, revendique soigner les sinusites, aiguës ou chroniques, grâce à un extrait lyophilisé de bulbe frais de cyclamen. Les saponines de la plante s’accrochent à la muqueuse nasale enflammée, créent un effet osmotique, attirant le fluide à l’extérieur de la muqueuse. Dans un second temps, elles déclenchent une action réflexe des cils vibratiles. Du fait même de son mode d’action, Nasodren entraîne, dans les minutes suivant sa pulvérisation, des effets secondaires attendus à type d’éternuements, de larmoiements oculaires, de besoin fréquent de se moucher, cela pendant une demi-heure environ. Nasodren peut se conseiller aux patients âgés d’au moins cinq ans. Nasodren inaugure la marque Bional Medical, qui entend proposer des produits conseil innovants de phytothérapie.
→ Le mode d’emploi : la solution nasale se reconstitue avec de l’eau purifiée (fournie). Pratiquer une pulvérisation dans chaque narine le soir, 2 heures avant le coucher, pendant 7 à 10 jours. Prévenir le patient de ne pas inspirer au moment de pulvériser Nasodren.
FICHE TECHNIQUE
Boîte de 1 flacon de poudre et 1 ampoule de solvant, PPI : 20 €, ACL : 518 623.9.
Omega Pharma : 01 55 48 18 00
VOTRE CONSEIL
Conserver la solution nasale reconstituée au réfrigérateur.
- Tests de dépistage du Covid-19 : les préparateurs ne peuvent plus les réaliser
- Tests Covid-19 interdits aux préparateurs : la profession interpelle le ministère
- Retrait des tests Covid-19 aux préparateurs : le ministère n’était pas au courant !
- [VIDÉO] Arielle Bonnefoy : « Le DPC est encore trop méconnu chez les préparateurs »
- Nouvelles missions : quelle place pour les préparateurs ?
- Déshydratation : 6 soins qui restaurent la barrière cutanée
- Pharmacie coopérative : Armand Pinton dévoile ses priorités pour 2025
- Mieux délivrer Izalgi, antalgique de palier II
- Nouvelles missions : l’offre et la demande sont au rendez-vous
- Rapport de l’Igas : le DPC est (sans doute) mort, vive la certification !