- Accueil ›
- Nouvelles missions ›
- Dépistage ›
- Vente d’autotests : la grande distribution part sur les chapeaux de roues

Dépistage
Réservé aux abonnés
Vente d’autotests : la grande distribution part sur les chapeaux de roues
Partager
Mettre en favori
L’affaire a fait grand bruit en toute fin d’année. La vente des autotests de dépistage du Covid-19 sur prélèvement nasal n’est plus réservée aux seules pharmacies. Alors qu’un arrêté du 27 décembre publié au Journal officiel du 28 décembre a supprimé ce monopole « à titre exceptionnel » et jusqu’au 31 janvier 2022, la grande distribution a écoulé près de 500 000 boîtes d’autotests (une boîte pouvant en contenir plusieurs) sur la première semaine où elle a été autorisée à en vendre (du 28 décembre 2021 au 2 janvier), selon un panel IRi en exclusivité pour le magazine LSA.
Le chiffre d’affaires généré par les autotests en grande distribution s’élèverait à 3 millions d’euros, conclut le panéliste.
Publicité
Publicité
Publicité
- La vigilance vire au rouge pour la rougeole
- Bon usage du médicament : le Leem sensibilise les patients âgés
- Cancer colorectal : les pharmaciens de plus en plus impliqués dans la campagne de dépistage
- Semaine nationale du rein : une carte interactive des lieux de dépistage pour aiguiller les patients
- Vaccin Ixchiq : gratuité pour les Réunionnais fragiles
- Pharmacie coopérative : Armand Pinton dévoile ses priorités pour 2025
- Mieux délivrer Izalgi, antalgique de palier II
- Nouvelles missions : l’offre et la demande sont au rendez-vous
- Rapport de l’Igas : le DPC est (sans doute) mort, vive la certification !
- Biosimilaires : vers un taux de remise à 30 % ?
Sur le même sujet…

La question des remises sur les génériques toujours d’actualité
Lors du salon PharmagoraPlus, Sébastien Michel, vice-président de l'association GEnérique Même MEdicament, n'a pas caché que les remises sur les génériques pourraient être revues à la baisse. Dans un contexte où les syndicats discutent de l’extension des remises aux médicaments biosimilaires, une question se pose : cette évolution se fera-t-elle au détriment des génériques ?
Le débat : La baisse des remises sur les génériques pourrait-elle vous conduire à licencier ? Je donne mon avis !