- Accueil ›
- Nouvelles missions ›
- Dépistage ›
- Tests antigéniques Covid-19 positifs : à confirmer par un PCR !

© Getty Images/iStockphoto
Tests antigéniques Covid-19 positifs : à confirmer par un PCR !
Renforcer la surveillance génomique : tel est le crédo actuel du ministère de la Santé. De fait, un DGS-Urgent du 15 mars précise que « tout résultat positif de test antigénique ou d’autotest doit désormais faire l’objet d’une confirmation par test RT-PCR ». Dans l‘attente du résultat de confirmation, la personne est considérée comme cas positif et doit entamer sa période d’isolement. Pour rappel, le résultat positif d’un test antigénique tient lieu de justificatif pour la prise en charge par l’Assurance maladie du test RT-PCR de confirmation.
De plus, le nombre de tests RT-PCR positifs devant faire l’objet d’un criblage passe de 25 à 50 % (arrêté du 16 mars, publié au Journal officiel du 17 mars 2022).
En effet, l’inquiétude semble de nouveau gagner le gouvernement et les autorités sanitaires. Selon, l’APM, le Pr Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, a déclaré lors d’une conférence en hommage aux soignants organisée par la Fédération hospitalière de France (FHF) ce 17 mars, qu’une « reprise » de l’épidémie est prévue dans « les prochaines semaines » et qu’il serait possible qu’un nouveau variant arrive à l’automne. CQFD ?
- La vigilance vire au rouge pour la rougeole
- Bon usage du médicament : le Leem sensibilise les patients âgés
- Cancer colorectal : les pharmaciens de plus en plus impliqués dans la campagne de dépistage
- Semaine nationale du rein : une carte interactive des lieux de dépistage pour aiguiller les patients
- Vaccin Ixchiq : gratuité pour les Réunionnais fragiles
- Nouvelles missions : l’offre et la demande sont au rendez-vous
- Rapport de l’Igas : le DPC est (sans doute) mort, vive la certification !
- Biosimilaires : vers un taux de remise à 30 % ?
- Aggravation des tensions sur Pegasys : nouvelles règles de dispensation mises en place
- [VIDÉO] Régulation de l’installation des médecins, un poisson d’avril ?
