- Accueil ›
- Conseils ›
- Santé naturelle ›
- Canneberge : les dispositifs médicaux non légaux

© Canneberge : les dispositifs médicaux non légaux - pixabay/eak_kkk
Canneberge : les dispositifs médicaux non légaux
Conformément à une décision de la Commission européenne et à la définition d’un dispositif médical, les produits destinés à prévenir ou traiter les cystites en s’appuyant sur les effets de la canneberge ne peuvent plus être commercialisés sous le statut de dispositif médical.
La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes a observé en décembre dernier que cette décision n’était pas parfaitement appliquée et que la vente de ces produits se poursuivait en ligne ou dans les officines.
Les services de la DGCCRF sont susceptibles de s’assurer du respect des dispositions indiquées en procédant à des contrôles, indique la DGCCRF sur son site.
Les dispositifs médicaux disposent d’un marquage CE et ont un code ACL à 13 chiffres commençant par 3401 ou GTIN13 (comme les compléments alimentaires).
Pour faciliter le tri, le statut de dispositif médical ou complément alimentaire est clairement indiqué sur le conditionnement.
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- Alerte aux méningites : vérifiez le statut vaccinal des patients
- L’ordonnance d’une patiente souffrant d’une sinusite aiguë
- [VIDÉO] Accompagner le patient parkinsonien à l’officine
- Eau oxygénée boriquée au Formulaire national
- [VIDÉO] Arielle Bonnefoy : « Le DPC est encore trop méconnu chez les préparateurs »
- [VIDÉO] Le service de livraison en ligne : « Ma pharmacie en France » disponible dès juin
- [VIDÉO] Négociations, augmentations, ancienneté… Tout savoir sur les salaires à l’officine
- [VIDÉO] 3 questions à Patrice Marteil, responsable des partenariats Interfimo
- [VIDÉO] Quand vas-tu mettre des paillettes dans ma trésorerie, toi le comptable ?