Santé naturelle Réservé aux abonnés

A proscrire ?

Publié le 8 février 2014
Mettre en favori

Bien que les antioxydants neutralisent les radicaux libres et donc diminuent les lésions de l’ADN, ils favoriseraient paradoxalement la prolifération tumorale. Des études sur l’animal et des cellules humaines démontrent que la vitamine E et la N-acétylcystéine contribuent à la progression du cancer du poumon, et diminueraient la quantité de la protéine p53 dans les cellules, connue pour son effet protecteur.

Publicité