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Accident vasculaire cérébral : ça n’arrive pas qu’aux grands

Publié le 18 mai 2019
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Près de 1 000 cas d’accident vasculaire cérébral surviennent chez des enfants, dont les trois quarts garderont des séquelles (déficit moteur, trouble des apprentissages). Dans le cadre de la journée européenne de prévention des AVC qui s’est déroulée le 14 mai, le centre national de référence AVC de l’enfant, le ministère de la Santé et la Société française neurovasculaire ont rappelé les signes d’alerte chez l’enfant (hors nouveau-né) qui doivent conduire à appeler sans tarder le 15 : déformation de la bouche, faiblesse d’un côté du corps, bras ou jambe, et troubles de la parole.

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