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Une jeune femme souffrant d’une mycose génitale

Publié le 1 octobre 2006
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Une jeune femme de 32 ans présente un prurit vulvaire intense, des leucorrhées inhabituelles et des brûlures en fin de miction. À l’examen gynécologique, son médecin diagnostique une mycose génitale due certainement à une levure ().

Nos conseils

Une fois la mycose traitée, ne plus utiliser Gyn hydralin ou tout autre savon alcalin.

La toilette intime quotidienne – préférer la douche au bain – s’effectue avec de l’eau ou un gel nettoyant respectant la flore bactérienne vaginale et ne modifiant pas le pH physiologique. Bannir les savons à pH acide favorisant la multiplication des candidoses et les douches vaginales. Bien sécher la zone vulvaire. Introduire la capsule de Lomexin profondément dans le vagin, de préférence en position allongée. Le traitement du partenaire est discuté en fonction de chaque cas, le caractère sexuellement transmissible de la candidose n’étant pas toujours admis.

Attention, les corps gras des ovules antifongiques peuvent altérer le latex : préférer les préservatifs en polyuréthane. Le traitement peut inactiver une contraception locale spermicide. Respecter la durée du traitement antifongique, sans l’interrompre durant les règles. Recommander le port de sous vêtements en coton et éviter les vêtements trop serrés.

Éviter les endroits humides tels que piscine, sauna…

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