- Accueil ›
- Conseils ›
- Pathologies ›
- Trop mal connue
Quatre pharmaciens sur dix s’estiment trop peu informés sur la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) pour pouvoir en parler au comptoir. C’est ce que révèle un sondage mené par la Fondation du souffle auprès de 403 officinaux, 151 médecins généralistes et 1 028 patients dans le cadre de la 12e journée mondiale consacrée à la maladie. Ce manque d’information et de formation des professionnels de santé pourrait expliquer qu’aujourd’hui 3 patients sur 4 ne soient pas diagnostiqués. La Fondation du souffle tire la sonnette d’alarme. Alors que la BPCO est en passe de devenir la troisième cause de mortalité au monde d’ici 2020, seul un Français sur dix considère connaître la maladie et ses conséquences cardiovasculaires et pulmonaires. Pour tenter d’inverser la tendance, la Fondation propose notamment de former les pharmaciens et surtout de leur donner la possibilité de tester le souffle de leurs patients, comme cela est déjà le cas pour l’asthme. Des questionnaires d’autodiagnostic pourraient également être mis à disposition à l’officine. Une étude sur le possible développement de la spirométrie en pharmacie est en cours.
- Aspartame : une pétition réclame son interdiction à l’échelle européenne
- Vapotage de substances psychoactives : l’ANSM tire la sonnette d’alarme
- Que risque-t-on à consommer une pomme de terre dont la peau est verte ?
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- Le « challenge paracétamol » : un phénomène inquiétant aux portes de la France ?
- Quétiapine en rupture de stock : comment adapter la prise en charge des patients ?
- Les médecins étrangers veulent un contrat pérenne
- Ménopause : qu’attendre des traitements laser contre la sécheresse vaginale ?
- Nature Care, gamme naturelle pour le soin des plaies
- Pharmaciens et IA : l’ère du professionnel augmenté