- Accueil ›
- Conseils ›
- Pathologies ›
- Perturbations durables
Les effets délétères d’une consommation de cannabis entamée à l’adolescence se confirment : à l’approche de la quarantaine, ces personnes ont perdu jusqu’à 8 points de quotient intellectuel. Ces usagers réguliers déclarent également plus de troubles de la mémoire ou de l’attention que les non-consommateurs. Ces deux données proviennent de la cohorte de Dunedin, en Nouvelle Zélande, qui a suivi régulièrement 1 037 enfants nés en 1972-73 depuis l’âge de 5 ans jusqu’à 38 ans. Les chercheurs n’excluent pas des séquelles irréversibles chez les fumeurs ayant commencé jeune puisqu’à l’adolescence la maturation du cerveau n’est pas achevée et que l’arrêt du cannabis ne permet pas une restauration complète des fonctions neuropsychologiques.
Publicité
Publicité
Publicité
- L’exercice physique est-il recommandé en cas de gonarthrose ?
- Régimes végétariens : quels effets sur la santé ?
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?
- [VIDÉO] Accompagner le patient parkinsonien à l’officine
- Déshydratation : 6 soins qui restaurent la barrière cutanée
- Pharmacie coopérative : Armand Pinton dévoile ses priorités pour 2025
- Mieux délivrer Izalgi, antalgique de palier II
- Nouvelles missions : l’offre et la demande sont au rendez-vous
- Rapport de l’Igas : le DPC est (sans doute) mort, vive la certification !