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Faible part de l’automédication dans l’iatrogénie
Lors de son premier forum, le 13 octobre à Paris, l’Association française de l’industrie pharmaceutique pour une automédication responsable (AFIPA) a présenté les premiers résultats d’une étude observationnelle menée par le Pr Queneau (photo) auprès de 4 661 patients accueillis dans 13 structures d’urgence en France en deux mois. La fréquence des événements iatrogènes médicamenteux (EIM) est de 9,78 % dont 1,72 % paraissent liés à une automédication. Lors de l’interrogatoire, 84,4 % des patients ont signalé une pratique d’automédication et 64 % ont pris au moins un médicament en automédication dans les 15 derniers jours. L’EIM en automédication paraît en rapport avec un mésusage ou une utilisation chez un patient à risque, c’est-à-dire prenant déjà beaucoup de médicaments de prescription reconnus pour leurs interactions médicamenteuses (diabétiques, patients sous AVK…). Des analyses statistiques complémentaires sont en cours.
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