- Accueil ›
- Conseils ›
- Pathologies ›
- Des entéropathies graves
Des données complémentaires fournies par la CNAMTS à la demande de l’ANSM montrent que seul l’olmésartan semble associé à une augmentation des cas d’hospitalisation pour entéropathie sévère. Les six autres molécules de la classe des ARA-II ne sont pas impliquées. C’est pourquoi l’Agence du médicament renouvelle et renforce les recommandations qu’elle avait émises en juillet 2013 après l’alerte lancée par la FDA, l’agence américaine des médicaments.
Lors de l’initiation d’un traitement antihypertenseur par ARA-II, l’ANSM recommande de préférer un autre sartan que l’olmésartan. Chez les patients déjà traités par olmésartan (Alteis, Alteisduo, Olmetec, CoOlmetec, Sevikar) l’arrêt du médicament doit être considéré en cas de symptômes évocateurs d’entéropathie tels que diarrhée chronique sévère et perte de poids, notamment en l’absence d’étiologie identifiable. Un autre antihypertenseur sera prescrit et un gastroentérologue consulté si les troubles persistent.
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- Alerte aux méningites : vérifiez le statut vaccinal des patients
- L’ordonnance d’une patiente souffrant d’une sinusite aiguë
- [VIDÉO] Accompagner le patient parkinsonien à l’officine
- Eau oxygénée boriquée au Formulaire national
- [VIDÉO] Arielle Bonnefoy : « Le DPC est encore trop méconnu chez les préparateurs »
- [VIDÉO] Le service de livraison en ligne : « Ma pharmacie en France » disponible dès juin
- [VIDÉO] Négociations, augmentations, ancienneté… Tout savoir sur les salaires à l’officine
- [VIDÉO] 3 questions à Patrice Marteil, responsable des partenariats Interfimo
- [VIDÉO] Quand vas-tu mettre des paillettes dans ma trésorerie, toi le comptable ?