- Accueil ›
- Conseils ›
- Pathologies ›
- Bannir les injections non résorbables
Résorbables, lentement résorbables, non résorbables. Ce sont les trois catégories définies par l’Afssaps pour classer les dispositifs médicaux injectables pour combler les rides. Les deux premières caractérisent des produits qui disparaissent de l’organisme avec le temps (en 3 à 6 mois pour les résorbables et en 6 à 24 mois pour les lentement résorbables). Les non résorbables qui persistent au delà de deux ans sont considérés comme injectés définitivement sous la peau. L’agence déconseille leur utilisation notamment à cause d’effets indésirables graves comme l’apparition de granulome ou de nécrose. Dans les recommandations qui accompagnent la classification, l’Afssaps préconise de conserver « tous les documents relatifs aux actes esthétiques et produits utilisés pendant 15 ans »et de signaler tout effet indésirable grave.
- L’exercice physique est-il recommandé en cas de gonarthrose ?
- Régimes végétariens : quels effets sur la santé ?
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- [VIDÉO] Accompagner le patient parkinsonien à l’officine
- « Pharmacien à la campagne, ça me va très bien »
- Biomedinfo, le site de référence pour les biosimilaires
- Nouvelles missions : la vision de Valérie Kieffer (Giphar) sur l’apport des coopératives
- Nimenrix et MenQuadfi : 2 aiguilles, pour quoi faire ?
- Vendre son officine : une transition à ne pas improviser