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Zydus sonde les effets du soleil sur la peau et la circulation

Publié le 7 avril 2007
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A l’approche des beaux jours, Zydus publie les résultats de la seconde vague de son enquête nationale « CAP’Prévention » portant sur les problèmes de peau et de circulation veineuse.

Face à une atteinte de la peau liée au soleil (dans 69 % des cas un coup de soleil), 58 % des personnes interrogées déclarent se tourner d’abord vers leur pharmacien, et cette proportion augmente chez les hommes (62 %) et les moins de 20 ans (67 %). Les médecins sont moins sollicités pour ces questions : 20 % des personnes interrogées vont aller consulter leur dermatologue et 17 % leur généraliste.

Le pharmacien apparaît donc comme un relais de choix sur les messages liés aux effets du soleil sur la peau, d’autant que la consultation régulière d’un dermatologue reste faible (du fait notamment du parcours de soins). Près de deux tiers des personnes interrogées déclarent consulter ce spécialiste une fois par an voire moins d’une fois par an. Surveiller sa peau toute l’année est jugé important à 73 %. Sachez aussi que 73 % des femmes utilisent une protection solaire l’été contre seulement 49 % des hommes, et que les jeunes générations sont les plus averties face aux dangers du soleil (près de 75 % des moins de 20 ans se protègent avec un produit solaire).

43 % des gens se dirigent vers le pharmacien

Le pharmacien est aussi aux premières loges pour prendre en charge et conseiller les patients souffrant de troubles de la circulation veineuse. Selon l’enquête, près d’un patient sur deux (majoritairement des femmes) déclare avoir eu un problème veineux durant l’été ou au retour de vacances (sensation de jambes lourdes dans 67 % des cas). Quand les troubles surviennent, 52 % des personnes se dirigent vers leur médecin et 43 % leur pharmacien, lequel se distingue par son conseil.

Les prescriptions du médecin sont largement dominées par les veinotoniques (80 %) et les bas de contention (48%). Le pharmacien les recommande aussi mais accorde une plus grande place que le médecin aux traitements par les plantes (29 %), aux massages (19 %) et aux conseils hygiénodiététiques (34 %).

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Ces résultats favorables au pharmacien doivent l’inciter cet été à affirmer davantage son rôle de conseil et de prescripteur.