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Les Européens associent peu contrefaçon et médicaments
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La contrefaçon ? Interrogés, les ressortissants de cinq pays européens (France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie et Espagne) associent, dans une très large majorité, celle-ci à l’univers du luxe (63 %) et en particulier des vêtements (72 %).
Seules 20 % des personnes interrogées par le cabinet français Happycurious pour le laboratoire pharmaceutique Sanofi lient contrefaçon et médicaments. Ce sont les Français (32 %) et les Allemands et les Italiens (18 %) qui sont les plus sensibilisés bien devant les Espagnols (12 %).
En revanche, le sentiment de danger lié aux faux médicaments est l’une des informations de cette enquête : 96 % des Européens interrogés estiment que les faux médicaments peuvent être ou sont certainement dangereux. Ils sont 54 % à considérer ne pas être suffisamment informés ou en situation de méconnaissance (mais 23 % ne se prononcent pas).
Autre enseignement : Internet est identifié par 90 % des Européens interrogés comme source potentielle de diffusion de faux médicaments. Mais seuls 18 % déclarent en avoir déjà acheté en ligne, pour des raisons économiques ou par discrétion. 78 % d’entre eux l’ont fait en toute confiance.
Dernière information de cette enquête d’opinion : 81% de l’échantillon déclare voyager avec une trousse à pharmacie pour ne pas être exposé aux faux-médicaments.Le groupe Sanofi a créé en 2008 le Laboratoire central d’analyse des contrefaçons (LCAC) qui est situé sur son site de Tours (Indre-et-Loire).
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