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La vape cherche sa place
Pas facile, la position des experts sur la cigarette électronique. D’un côté, l’OMS qui affirme que le vapotage n’est pas sans danger, et des pneumopathies en lien avec cette pratique semblent l’attester. De l’autre, des addictologues qui utilisent la cigarette électronique comme un outil de lutte contre le tabagisme. Dans votre article de mai, vous conseillez aux officinaux de dire que la cigarette électronique n’est pas un médicament. La question est de savoir : l’officine peut-elle, oui ou non, commercialiser ce type de produit ? Il me semble que non et pourtant la question s’était posée il y a quelques années. La e-cigarette reste utile pour certains praticiens dans le sevrage, au même titre que d’autres dispositifs comme les patchs. Ce qui avait d’ailleurs conduit la Commission européenne à dire que, dans la mesure où elles constituaient des aides au sevrage tabagique, leur réglementation devrait suivre la législation sur les produits pharmaceutiques. La question est-elle définitivement tranchée ?
Un préparateur de Seclin (59)
Porphyre répond
Non, elle n’est pas tranchée et l’officine ne peut pas en vendre. En revanche, tout outil de réduction des risques reste intéressant pour les addictologues.
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