- Accueil ›
- Conseils ›
- Maux du quotidien ›
- Contraception : les DIU ont la cote

© Getty Images/iStockphoto
Contraception : les DIU ont la cote
Les habitudes en matière de contraception féminine évoluent, comme le montrent les données qui viennent d’être publiées par le Groupement d’intérêt scientifique EPI-PHARE.
Le désamour pour la contraception orale oestroprogestative se confirme, avec un recul cumulé d’environ 36 % entre 2011 et 2021. Les pilules associant lévonorgestrel et éthinylestradiol à 20 µg sont aujourd’hui les plus prescrites. En parallèle, les pilules uniquement progestatives ont vu leurs ventes doubler en l’espace de 10 ans.
L’utilisation des anneaux vaginaux imprégnés à l’étonogestrel et l’éthinylestradiol a quant à elle diminué de moitié, de même que celle des patchs contraceptifs. L’implant sous-cutané à l’étonogestrel a été moins posé pendant la période épidémique de mars 2020 à avril 2021, mais est revenu à un niveau stable depuis.
Ceux qui tirent leur épingle du jeu sont les dispositifs intra-utérins (DIU) au cuivre, dont l’utilisation est en hausse d’environ 80 % en 2021, par rapport à 2011. A contrario, celle des DIU au lévonorgestrel a peu évolué en 10 ans.
- L’exercice physique est-il recommandé en cas de gonarthrose ?
- Régimes végétariens : quels effets sur la santé ?
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?
- [VIDÉO] Accompagner le patient parkinsonien à l’officine
- Nouvelles missions : la vision de Valérie Kieffer (Giphar) sur l’apport des coopératives
- Nimenrix et MenQuadfi : 2 aiguilles, pour quoi faire ?
- Vendre son officine : une transition à ne pas improviser
- Affaire Dépakine : l’État n’est pas le seul responsable
- Déshydratation : 6 soins qui restaurent la barrière cutanée

