A l’étranger, il faut se méfier des médicaments qui portent le même nom qu’en France

Publié le 12 juillet 2007
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En période de forte migration estivale, l’Afssaps insiste sur le fait de rappeler aux patients de prendre leur traitement avec eux lors de tout déplacement à l’étranger et de les sensibiliser à l’usage de la DCI plutôt qu’au nom de marque. L’Agence prend pour exemple un touriste français qui est parti en Espagne sans son anticoagulant. Il a pu acheter sur place un médicament portant le même nom commercial mais qui était… un vasodilatateur. Sans traitement anticoagulant pendant 10 jours, elle a été victime d’un accident vasculaire cérébral.

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