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Les écogestes de la convention nationale pharmaceutique
L’article VII de la convention nationale pharmaceutique égrène sept actions vertes concrètes à titre d’exemples.
L’utilisation d’ampoules basses consommations et l’extinction des lumières en dehors des horaires d’ouverture et des périodes de garde et d’urgence (croix, vitrines, panneaux publicitaires, etc.).
La réduction des déchets d’emballage et des sacs distribués aux patients.
Une politique d’achat responsable, consistant à privilégier des fournisseurs qui choisissent des emballages monomatériau et recyclables et qui sont implantés localement.
La limitation des impressions et l’utilisation de produits d’entretien à faible impact environnemental.
La diminution des transports, en optimisant les commandes de produits afin de limiter l’impact des livraisons sur l’environnement.
Le choix de produits dont la composition et l’origine des matières premières sont connues, c’est-à-dire avant tout ceux sans substances classées par la réglementation comme cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction (CMR) et exempts de perturbateurs endocriniens.
L’implication dans les différentes filières de collecte de médicaments non utilisés, de tri et de recyclage, notamment la mise en œuvre de la collecte des déchets d’activités de soins à risques infectieux et assimilés, perforants ou électroniques pour les patients en autotraitement ou produits par les soins pharmaceutiques et les utilisateurs des autotests.
