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- L’excès de connexions est nuisible
Surfer sur Internet au travail est généralement admis. À condition de ne pas commettre d’abus. En cas de dérives, le salarié commet une faute comme l’illustre une affaire jugée le 26 février dernier. Pendant son temps de travail, une salariée consultait des sites extraprofessionnels : réseaux sociaux, commerce en ligne, etc. Avec un score de plus de 10 000 connexions sur 15 jours de travail ! Licenciée pour faute grave, la salariée a contesté le bien-fondé de la rupture devant les tribunaux plaidant l’absence de description de son poste et de consignes claires de son employeur sur les tâches lui incombant. Les juges n’ont pas suivi son raisonnement et l’ont déboutée de ses demandes indemnitaires. Le licenciement pour faute grave était justifié.
Repère. Fournir un travail est la principale obligation du salarié. À défaut, son maintien dans l’entreprise peut valablement être remis en cause.
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