Carrière Réservé aux abonnés

La valorisation du métier passe nécessairement par la case formation

Publié le 1 octobre 2024
Mettre en favori

Élodie Martin, préparatrice à Grenoble (38)

« Titulaire d’une licence en chimie et biologie, j’ai ensuite suivi deux licences par apprentissage, d’abord en alimentation et process qualité, puis en nutri-cosmétique et cosmétologie. Une fois diplômée, j’ai travaillé dans un laboratoire comme formatrice, et à force de passer dans les pharmacies, de côtoyer le métier de préparateur… Je me suis dit, pourquoi pas ? Je suis donc entrée en formation en brevet professionnel (BP) et je suis maintenant préparatrice depuis huit ans. Ces dernières années, je voulais m’investir pour la profession, mais je ne savais pas comment… J’ai découvert le CNPPPO en surfant sur Internet, et quand j’ai vu l’appel à candidatures, je me suis dit que c’était le moment d’agir ! Ce qui m’a plu, c’est l’axe formation, car pour moi, la valorisation du métier passe nécessairement par la case formation. Il faut montrer qu’en se formant très bien, on peut prendre les choses en main. Si on était plus à le faire, le métier évoluerait plus vite ! »

Publicité