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Du labeur

Publié le 8 décembre 2001
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En réponse à Lionel du Coudray [NdlR : courrier « Du bonheur », paru dans Le Moniteur n° 2422]

Entièrement d’accord avec vous sur le ridicule de la rémunération du pharmacien adjoint, son manque de « perspective », les difficultés de l’installation… C’est à nous titulaires d’augmenter par tous les moyens les rémunérations de nos collaborateurs, concluez-vous. Seulement voilà, sur mon bilan arrêté au 31 août, je m’aperçois que j’ai gagné 2 500 F par mois de plus que mon assistant. Il a travaillé 36 heures par semaine et moi 70 ! Après avoir passé 25 ans à rembourser les banques.

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