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Réactions

Publié le 8 juin 2024
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Avenant à la convention nationale pharmaceutique : des avancées significatives sur les Trod et Rosp

Publié le 2 juin 2024

 

Pas le temps pour toutes ces belles “avancées” ! »

Vente en ligne de médicaments : la mobilisation des pharmaciens a porté ses fruits

Publié le 31 mai 2024

 

Force est de constater que c’est la pharmacie mercantile qui va peut-être gagner. La vente en ligne de médicaments remboursables ou non existe depuis belle lurette (Doliprane, Aspégic, lingettes pour bébé, etc.). Les pharmaciens affairistes vont continuer, avec les groupements dévoyeurs de la profession, à garder leur cartel et à créer le désert pharmaceutique autour d’eux. […] Ce n’est pas le gouvernement qui fait fermer certaines pharmacies, mais ce sont les pharmaciens cupides des grandes galeries marchandes, de la vente en ligne, des cartes de fidélité, des cadeaux et de l’obsession du panier moyen bien rempli.
Des pharmaciens de bonne foi ont répondu à l’appel des syndicats et des groupements (sic) sans se rendre compte qu’ils sont justes un alibi, un bouclier contre ceux qui ont plus de moyens de concurrencer les pharmacies mercantiles. Ces dernières préfèrent écraser les pharmacies éthiques et ne pas se frotter à E.Leclerc, Carrefour ou, pire encore pour elles, Amazon. […] En revanche, le gouvernement ne répond pas sur le sujet des pénuries à répétition et des honoraires qui sont des revendications justes dignes de ce nom pour une profession de santé. Ouf, les affairistes ont eu chaud ! Je ne comprends pas pourquoi on ne parle pas de ce qui se passe dans notre profession ; du grand nettoyage à faire. Sur ce sujet, les syndicats restent muets. »

Fin de l’indemnisation des arrêts de travail inférieurs à huit jours : les enjeux pour les pharmaciens

 

Publié le 3 juin 2024

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[..] Ce sont les salariés qui vous nourrissent, mes pauvres ! Vous autres, dans votre bureau à téléphoner à votre copine pendant que vos employés courent à droite et à gauche sans aucune chaise pour poser leurs fesses de la journée. Sans les salariés, vous êtes de pauvres choses. Un peu d’empathie, un peu de respect pour la plèbe qui vous nourrit, et les gens viendront travailler avec plaisir, vous verrez ! »