L’Inspection générale des affaires sociales (Igas) et l’Inspection générale des finances (IGF) ont publié, le 31 mai, leur rapport évaluant la faisabilité d’une carte Vitale biométrique pour lutter contre la fraude sociale. Leur conclusion : la solution est bien trop onéreuse au regard du montant des fraudes. Le coût est estimé à plus de 1 milliard d’euros, qu’il s’agisse du scénario « empreintes digitales » ou « reconnaissance faciale ». La fraude constatée (environ 0,1 % des prestations versées) est « significativement inférieure à la fraude estimée (entre 3 et 5 %) ». De plus, elle est pour l’essentiel le fait des professionnels et établissements de santé (pour environ les trois quarts des montants détectés).
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