Les pharmaciens sont nombreux (53 %) à estimer que les objets connectés peuvent constituer un véritable bénéfice pour la santé des patients, révèle une enquête de Bien-être & santé en partenariat avec Direct Medica et Medappcare.s. Mais 21 % estiment que ce n’est pas le cas : les objets connectés ont donc encore une marge de confiance à acquérir avant de faire l’unanimité auprès des professionnels de santé. Par conséquent, seuls 50 % des officinaux ont déjà vendu des objets connectés. Point positif : 66 % des interrogés n’en ayant jamais vendu se disent prêts à le faire. De même, 47 % des sondés attribuent aux objets connectés un indice de confiance d’au moins 3 sur 4. Parmi les freins, la question de la protection des données personnelles est un débat préoccupant pour 53 % des professionnels interrogés. Les développeurs devront donc rassurer professionnels de santé et patients pour espérer une généralisation de ces nouvelles technologies.
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