Une cosmétique bio 100% néo-zélandaise

Installée en pharmacie début 2021 et déja présente dans environ cent cinquante officines, la marque de cosmétiques néo-zélandaise Antipodes ambitionne d’être référencée dans 500 d’entres elles. Pas n’importe lesquelles, des points de vente qui veulent se différencier avec une offre cosmétique qui s’inscrit sur la tendance des formules naturelles et clean et qui disposent, idéalement, d’une offre de parapharmacie qualitative (merchandising soigné, caisse dédiée, animations). Egalement vendue en boutique sélective et avant-gardiste (Oh My Cream, Mademoiselle bio, Le Bon Marché…), les compositions des produits Antipodes se veulent simples et riches en actifs naturels puisés en Nouvelle-Zélande. Citons, entre autres, l’huile d’avocat, l’huile de graine de kiwi, le miel de manuka ainsi que des ingrédients végétaux issus des forêts et des extraits antioxydants (pépins de raisin de sauvignon blanc…). La marque entend désormais s’appuyer davantage sur le conseil du pharmacien pour se faire connaître et fidéliser les consommatrices ciblées : « des femmes, entre 30 et 50 ans, soucieuses de ce qu’elles appliquent sur leur peau et exigeantes au regard des formules », souligne François-Xavier Laude, le dirigeant d’Eolys beauté, distributeur de la marque en France.

UNE SÉLECTION COURTE.

L’offre disponible en pharmacie est une gamme sélective d’une quinzaine de produits : masque, gel nettoyant, soin exfoliant, lotion tonique, sérum, contour des yeux, crème de jour et de nuit… Parmi les fleurons de la marque, le masque “Aura” au miel de Manuka, le soin contour des yeux anti-âge à l’huile de pépins de kiwi, mais aussi la crème de nuit nourrissante à l’avocat. Nouveau, le gel crème de nuit réparateur aux probiotiques offre un teint frais et reposé au réveil. Avec un positionnement prix accessible (entre 19 € et 50 €). Les produits sont certifiés vegan et bio par des labels anglo-saxons. Une offre promotionnelle, en vigueur toute l’année, permettra aux consommatrices de partir avec 3 produits pour l’achat de 2. Une PLV ad hoc sera remise aux pharmaciens : testeurs, échantillons, réglettes, podium et covering. « Le premier média de la marque est le point de vente », résume François-Xavier Laude.