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Il y a un an, ces événements faisaient l’actualité. Qu’en est-il aujourd’hui ? « Le Moniteur » fait le point.

Publié le 17 novembre 2007
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Le lancement de PharmaRéférence Enseigne retardé

Il y a un an, PHR annonçait le lancement d’une nouvelle enseigne lors de son congrès à Reims. Baptisée PharmaRéférence Enseigne, elle devait alors s’ajouter à la première enseigne du groupement, Viadys, qui ne répondait pas à toutes les attentes. Fort d’un concept allégé, moins gourmand en investissement pour le titulaire, PharmaRéférence Enseigne pouvait permettre d’exploiter un nouveau potentiel de demandes. Ses signes particuliers ? Une organisation de l’espace de vente en corners, un univers spécialisé dans les maladies respiratoires et une communication sur des services de référence. Mais, un an après, seuls six adhérents de PHR – même si 71 demandes sont en cours de traitement – ont adopté les couleurs de PharmaRéférence Enseigne. « Son lancement a été différé sur l’année 2007 car le groupe a eu d’autres priorités plus urgentes à traiter, indique Lucien Bennatan, président de PHR. Le vrai déploiement de l’enseigne est programmé pour le premier trimestre 2008. »

Paritarisme : un accord pas officiel… mais respecté

L’accord sur le paritarisme du 3 décembre 2006 n’a toujours pas été étendu au Journal officiel un an après sa signature entre les centrales salariées, l’UNPF et l’USPO. Cet accord donnait 5 places à chaque syndicat patronal au sein de la Commission paritaire nationale pour l’emploi (CPNE). Or, la FSPF voulait une répartition proportionnelle, ou du moins différente, selon le nombre d’adhérents des trois syndicats patronaux. Cela étant, la FSPF a participé normalement cette année aux travaux de la CPNE, qui avait redémarré en janvier, en respectant le nombre de 5 représentants acté par cet accord. Malgré une opposition à l’arrêté d’extension formulée par le syndicat auprès du ministère.

« Nous ne pouvions pas prendre les salariés en otage au milieu de nos chicaneries entre syndicats patronaux, commente Jean-Etienne Martineau, de la commission des relations sociales à la FSPF. La CPNE doit fonctionner quels que soient nos désaccords. C’est l’intérêt de toute la profession. »

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