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Publié le 26 avril 2008
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JEAN-LUC MARCHAND, Lacaune (Tarn)

Je n’ai pas encore acquis le réflexe de faire une tarification immédiate, mais, avec le temps, cela va venir car l’idée est bonne ! Les clients ont vite compris qu’ils pouvaient obtenir une boîte supplémentaire et que six mois de traitement pouvaient faire sept mois. Il ne faudrait pas qu’ils prennent l’habitude de revenir systématiquement pour un dépannage à l’expiration de leur ordonnance.

PATRICK FONTAINE-BERGER, Grenoble (Isère)

L’ancienne méthode, qui consiste à avancer le produit au client et à garder la vignette jusqu’à régularisation par une nouvelle ordonnance, tend à diminuer. Je dépanne 5 à 6 fois par mois selon l’ancienne méthode contre 2 à 3 fois avec la nouvelle. Mais, dans l’ensemble, cette pratique est peu répandue dans mon officine car mes clients ne se laissent pas surprendre en fin de traitement ou de renouvellement.

HÉLÈNE FÈVRE, Grabels (Hérault)

Ce renouvellement ne me satisfait pas vraiment car il me paraît difficile à contrôler à partir du seul historique des prescriptions à la pharmacie. Le patient peut très bien présenter plusieurs ordonnances de trois mois dans des pharmacies différentes et accumuler des boîtes. Il aurait été plus simple que tous les labos s’alignent sur des conditionnements de 30 unités et d’éduquer les patients sur le renouvellement de leurs ordonnances avant expiration.

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Enquête flash*

Avez-vous déjà procédé à un dépannage exceptionnel d’une boîte supplémentaire après expiration de l’ordonnance, comme la loi vous y autorise ?

Non 22,25 %

Oui, tous les jours 8,04 %

Oui, plusieurs fois par semaine 20 %

Oui, plusieurs fois par mois 21,37 %

Oui, mais rarement 28,33 %

Sur une base de 1 020 votants.