CLUBS D’UTILISATEURS : Naissance de Robapharm et de l’AUA
Après l’AURA (Association des utilisateurs de robots et automates), créée en 1999 pour défendre les utilisateurs de Pharmamat (Peem), deux nouveaux clubs d’utilisateurs d’automates et robots ont vu le jour en 2005. En janvier dernier, Raphaël Moreau et Bernard Roubinet, respectivement titulaires à Lyon et Montélimar, ont créé Robapharm, un club destiné aux clients Westfalia. Leur but : permettre aux utilisateurs d’échanger idées et expériences afin de faire évoluer le produit vers plus de confort d’utilisation (éviter par exemple de bloquer l’utilisation des écrans lors de la maintenance…).
« Nous bénéficions d’une bonne qualité d’écoute auprès de Westfalia et nos demandes d’améliorations ont déjà trouvé une première réponse avec une nouvelle version logicielle nous permettant de mieux gérer la Speedbox, commente Bernard Roubinet. Notre but est aussi de pouvoir faire pression sur les sociétés de services informatiques de manière à actualiser certains dialogues du CD/API : mise à jour des prix et plus tard des dates de péremption par exemple. »
L’AUA, Association des utilisateurs d’automates est née quant à elle en mars 2005 à l’initiative de Bruno Bader, installé à Paris. Son objectif : réunir les pharmaciens équipés de diverses machines de manière à offrir à tous une mutualisation du risque.
Les adhérents bénéficieront d’une assistance juridique par le cabinet Fallourd en cas de litige avec un fabricant, d’une assistance au fonctionnement et d’une aide à la décision et au choix d’une machine pour ceux qui souhaitent s’équiper. « Il me paraît essentiel de permettre aux pharmaciens automatisés de ne pas rester isolés face à d’éventuels problèmes et de ne pas se retrouver pieds et poings liés face à un fabricant avec lequel ils ne peuvent trouver un terrain de négociation », souligne Bruno Bader.
L’Association des utilisateurs de robots et automates se donne aussi pour mission d’assister les titulaires en difficulté, grâce notamment à la qualité des contacts qu’elle a établis avec les différents fabricants.
L’association travaille également avec le laboratoire Boiron à une automatisation pertinente de l’homéopathie et, parallèlement, à la gestion automatisée des bons de promis.
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