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Les macrolides snobés dans la coqueluche
Malgré le renforcement des mesures vaccinales chez l’adolescent en 1998 puis chez l’adulte en 2004, la coqueluche reste présente dans ces tranches d’âge. Ce sont les conclusions d’une étude menée auprès de 129 généralistes de la région parisienne entre mai 2008 et mars 2009. Ces derniers avaient notamment pour mission de recenser les cas de coqueluche chez les plus de 13 ans.
L’incidence estimée de la pathologie à l’issue de l’étude est de 145 cas pour 100 000 contre 866 dans la même région en 1999. Une nette diminution donc mais des cas encore trop nombreux, le but étant d’éviter au maximum que les adultes infectés ne contaminent les nourrissons, non protégés et à risque de gravité. Le Journal international de médecine mentionne que l’étude a par ailleurs permis de détecter un problème diagnostic lié à la non-pratique d’aspirations nasopharyngées en laboratoire.
Une procédure a depuis été instaurée pour y remédier. Il semble par ailleurs que seuls 40 % des patients soient traités par macrolides, pourtant traitement de référence de la coqueluche.
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