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Une étude canadienne publiée dans le British Medical Journal conclut à un risque de cancer de la vessie augmenté de 83 % chez les patients exposés à la pioglitazone. Il est multiplié par 2 lorsque l’exposition a duré plus de 2 ans et par 2,5 lorsque les doses cumulées dépassent 28 g. Ce risque n’a pas été observé avec la rosiglitazone. Selon l’Agence de presse médicale, cette nouvelle étude pourrait conduire l’Agence européenne du médicament à se rallier finalement à l’opinion française.
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