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- Rares mais très handicapants
En France, chaque année, entre 500 et 1 000 enfants sont victimes d’un accident vasculaire cérébral. Beaucoup plus rare que chez l’adulte, cette pathologie reste grave chez l’enfant avec une mortalité de 10 % durant le mois qui suit l’accident. Il s’agit par ailleurs de la première cause de handicap acquis chez l’enfant – deux victimes sur trois conservent des séquelles –, et ce d’autant que sa rareté retarde souvent le diagnostic. De plus, il n’y a pas de traitement standard chez l’enfant. La prise en charge est adaptée aux causes identifiées de l’AVC, très différentes de celles retrouvées chez l’adulte. Elles peuvent notamment être cardiaques, malformatives, hématologiques, inflammatoires ou liées à une maladie rare. Dans ce cadre, le ministère de la Santé vient de créer un centre national de référence de l’AVC chez l’enfant. Constitué par des unités spécialisées réparties en métropole, son rôle est d’animer les filières de prise en charge, améliorer les connaissances sur la pathologie, assurer un recours pour les cas complexes (sur place ou en télémédecine), former et informer.
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