- Accueil ›
- Profession ›
- Socioprofessionnel ›
- Clémence pour Marie-Josée Augé-Caumon
Socioprofessionnel
Réservé aux abonnés
Clémence pour Marie-Josée Augé-Caumon
Publié le 31 août 2002
Partager
Mettre en favori
La section des assurances sociales du Conseil national de l’Ordre a annulé la décision du conseil régional de l’Ordre Languedoc-Roussillon qui avait infligé, en mars 2000, à l’ex-présidente de la FSPF huit mois d’interdiction de servir des prestations aux assurés sociaux pour avoir délivré du sulfate de morphine à des toxicomanes après la circulaire de 1996 qui en limite l’usage. Cette même sanction est ramenée à un mois par le Conseil national qui estime que si Marie-Josée Augé-Caumon a bien enfreint les textes, elle ne « poursuivait pas un but lucratif mais humanitaire » et tentait de pallier l’insuffisance des traitements méthadone mise en place à l’époque à Montpellier. Mme Augé-Caumon ne devrait pas se pourvoir en cassation.
Publicité
Publicité
Publicité
- Economie officinale : les pharmaciens obligés de rogner sur leur rémunération
- Grille des salaires pour les pharmacies d’officine
- Explosion des défaillances en Nouvelle-Aquitaine, Pays de la Loire et Occitanie
- La carte Vitale numérique, ce n’est pas pour tout suite
- [VIDÉO] Financiarisation de l’officine : « Le pharmacien doit rester maître de son exercice »
- Financement des officines : 4 solutions vertueuses… ou pas
- Prescriptions, consultations : les compétences des infirmiers sur le point de s’élargir
- Dispensation à l’unité : chassez-la par la porte, elle revient par la fenêtre
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?
- Gilenya (fingolimod) : quelles conditions de délivrance ?
Sur le même sujet…

